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PSYCHIATRIE LA SECTE PSYCHIATRIQUE QUI DETOURNE L ARGENT DE L ETAT FRANCAIS

ILINES | 14.10.2011 00:31 | World

Comme vous l’avez peut-être remarqué, je suis en verve en ce moment concernant la toujours étonnante psychiatrie. C’est l’actualité qui m’a conduit à écrire ce qui vient. La sortie récente du rapport 2009 de la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) a fait germer en moi cette idée saugrenue au premier abord : « et si la psychiatrie était une secte ! »

J’ai donc découvert que ladite Miviludes conseillait quelques critères pour déceler l’aspect sectaire d’un mouvement, critères élaborés en 1995 par une commission parlementaire. Et j’ai passé la psychiatrie à l’épreuve de ces critères, pour avoir une idée plus précise de ce que me dictait mon intuition.

Les résultats sont là :

Critère number one : la déstabilisation mentale

S’il vous est déjà arrivé de rencontrer quelqu’un sous traitement psychiatrique, sous camisole chimique ou sous antipsychiotiques, force est pour vous de constater que son état mental n’est plus le même. Outre les dégénérescences physiques induites par le traitement (et classées dans les effets secondaires), on peut vite remarquer la lenteur d’esprit, les vides durant parfois plusieurs minutes, les incohérences, les sentiments de planer par moments suivis de périodes dépressives, et dans certains cas, le passage à l’acte suicidaire, voire les crises de folie meurtrière (voir critère 3). Mais même avant ce traitement, le simple fait de se retrouver dans le bureau d’un psychiatre peut déstabiliser mentalement le patient, qui ne sait plus trop quoi penser.

Critère numéro 2 : le caractère exorbitant des exigences financières

Le coût d’un patient en Hopital Psychiatrique est estimé à 400 euros par jour, sans y ajouter les « soins » qui vont lui être faits. Ceci étant principalement payé par les contribuables, la psychiatrie réclame toujours plus de milliards d’euros en termes de subventions. Ce qui peut en soi être considéré comme des exigences financières au caractère exorbitant (notez que ce critère n’est pas de moi. La psychiatrie ferait-elle du bien aux gens, je serais le premier à être heureux d’investir dedans pour le bien des patients). Il n’y a pas un jour sans que la presse se fasse le relai des exigences des psychiatres en matière de subventions.

Les psychiatres en cabinet se font payer en moyenne 50 euros la consultation, parfois pour 10 minutes. Un peu exorbitant à mon sens pour un travail que de plus en plus de médecins considèrent comme un travail de prescripteur.

Critère 3 : la rupture avec l’environnement d’origine

L’homme interné est en totale rupture avec son environnement d’origine. Bien souvent avec une interdiction de voir ses proches et un refus de le laisser sortir de manière physiquement contraignante. Je ne sais quelle est la différence entre un internement sous contrainte et une séquestration. Quoi qu’il en soit, il y a incontestablement pour le patient une rupture avec son environnement d’origine.

Critère 4 : l’existence d’atteintes à l’intégrité physique

Les électrochocs, rebaptisés « sismothérapie » pour des raisons de marketing, sont des atteintes à l’intégrité physique, causant des dommages irrémédiables dans le cerveau. Les camisoles chimiques sont aussi des atteintes à l’intégrité physique. Un antipsychotique parmi d’autres, prescrit à tout va (et très lucratif pour le laboratoire qui le produit), le Zoloft, cumule les effets secondaires suivants :

. Affections hématologiques et du système lymphatique . Affections du système immunitaire . Affections endocriniennes . Troubles du métabolisme et de la nutrition . Affections psychiatriques . Affections du système nerveux . Affections oculaires . Affections de l’oreille et du labyrinthe . Affections cardiaques . Affections vasculaires . Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales . Affections gastro-intestinales . Affections hépatobiliaires . Affections de la peau et du tissu sous-cutané . Affections du rein et des voies urinaires . Affections des organes de reproduction et du sein . Des cas d’idées et de comportements suicidaires ont été rapportés durant le traitement par ZOLOFT ou peu après son arrêt . levée de l’inhibition psychomotrice, avec risque suicidaire . inversion de l’humeur avec apparition d’épisodes maniaques . réactivation d’un délire chez les sujets psychotiques ; . manifestations d’angoisse.

Si ça s’est pas une atteinte à l’intégrité physique...

Critère numéro 5 : l’embrigadement des enfants, le discours antisocial, les troubles à l’ordre public

Récemment, le Prozac a été autorisé en prescription pour les enfants à partir de 8 ans. Il n’y a pas si longtemps des psychiatres de l’INSERM préconisaient le dépistage de la maladie mentale chez les enfants à partir de 3 ans. Dans les écoles, les tests psychiatriques sont de plus en plus nombreux, pour déceler une éventuelle « maladie mentale » chez l’enfant. Avant, l’enfant turbulent était turbulent. Aujourd’hui il est hyperactif et doit être mis sous psychotropes. Voilà pour l’embrigadement des enfants.

Le discours antisocial et les troubles à l’ordre public ont été institutionnalisés par les psychiatres nazis (80% des psychiatres allemands sous le nazisme ont collaboré à l’euthanasie des aliénés, et des opposants), et la psychiatrie soviétique, au service du parti. Les nombreux tueurs fous tout droits sortis des hôpitaux psys et des traitements psys peuvent facilement être considérés comme des troubles à l’ordre public. Comme c’est bien souvent le traitement (et le psychiatre qui l’administre) qui est la cause de ce dérapage (je rappelle l’effet secondaire du zoloft : levée de l’inhibition psychomotrice, avec risque suicidaire ; inversion de l’humeur avec apparition d’épisodes maniaques, réactivation d’un délire chez les sujets psychotiques), on peut en conclure sans crainte qu’il y a trouble à l’ordre public.

Critère 6 : l’importance des démêlés judiciaires

A en croire les médias, vu le nombre de psychiatres arrêtés et jugés chaque année pour viol, abus, fraude et tutti quanti, le critère 6 est établi sans aucune hésitation.

Critère 7 : l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels

Alors là, je ne suis pas un spécialiste. Mais on peut tout de même faire référence au rapport Zarifan, et aux derniers rapports de l’IGAS sur le sujet, qui mettaient en évidence les collusions entre la psychiatrie et les laboratoires pharmaceutiques qui produisent les pilules miracles de la camisole chimique. Les psychiatres sont payés par les labos pour faire la promotion des molécules, et par l’AFSSAPS pour mener les études qui permettront d’autoriser le « médicament » sur le marché, l’AFSSAPS étant payée elle-même à 80% par les labos. Ca ne me semble pas très clair :-)

Et le dernier, le critère number 8 : les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics

Il y a des psychiatres dans toutes les administrations. Même la Miviludes à l’origine de ma réflexion en a en son sein. Ils font du lobbying pour être placés aux endroits les plus clés des gouvernements. Je pourrais aussi citer la phrase célèbre de J. R. Rees, psychiatre Président du Conseil national pour l’hygiène mentale en 1940, qui dressait le plan de la psychiatrie mondiale : « Nous devons nous assurer qu’elle (la psychiatrie) s’infiltre dans chaque activité éducative de notre pays. Les secteurs public, politique et industriel devraient faire partie de notre sphère d’influence. »

Et ce plan fonctionne bien, puisque si proche de nous, notre actuelle Ministre de la santé défend fermement le droit de la psychiatrie à enfermer des gens arbitrairement.

Auparavant, vous pouviez être enfermés à la demande d’un tiers (je sais, on a du mal à y croire, mais il suffit d’avoir rencontré un ou deux cas de ce type pour perdre toute illusion à ce sujet).

Mais même cette demande venant d’un tiers, c’est trop compliqué. Alors que nous dit Roselyne, interviewée par « soins psychiatrie » ?

« Lorsqu’une personne a besoin de soins psychiatriques mais qu’elle n’y consent pas, sans présenter un état de dangerosité, il est parfois très difficile de “trouver un tiers” pour signer la demande d’hospitalisation. Les professionnels font au mieux et je sais qu’ils ne ménagent pas leurs efforts pour permettre au patient d’être pris en charge. Nous devons néanmoins adapter cette procédure, pour faciliter l’accès aux soins en clarifiant le rôle du tiers. Le tiers doit devenir un demandeur, non pas d’une hospitalisation mais de soins, sans avoir à se prononcer sur la modalité de ces soins, et nous devons créer une procédure applicable en l’absence de tiers ».

Notez bien que vous pourrez (ou votre enfant, votre mari, votre soeur, etc) être enfermés, même « sans présenter un état de dangerosité ».

Ah bah ils y sont bien, infiltrés dans les pouvoirs publics. On n’est même plus dans une « tentative ».

Alors finalement, il faut me rendre à l’évidence, LA PSYCHIATRIE EST UNE SECTE.

Merci la Miviludes, j’espère que vous en parlerez dans votre prochain rapport, s’il reste encore certains d’entre nous pour le lire.

Comme vous l’avez peut-être remarqué, je suis en verve en ce moment concernant la toujours étonnante psychiatrie. C’est l’actualité qui m’a conduit à écrire ce qui vient. La sortie récente du rapport 2009 de la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) a fait germer en moi cette idée saugrenue au premier abord : « et si la psychiatrie était une secte ! »

J’ai donc découvert que ladite Miviludes conseillait quelques critères pour déceler l’aspect sectaire d’un mouvement, critères élaborés en 1995 par une commission parlementaire. Et j’ai passé la psychiatrie à l’épreuve de ces critères, pour avoir une idée plus précise de ce que me dictait mon intuition.

Les résultats sont là :

Critère number one : la déstabilisation mentale

S’il vous est déjà arrivé de rencontrer quelqu’un sous traitement psychiatrique, sous camisole chimique ou sous antipsychiotiques, force est pour vous de constater que son état mental n’est plus le même. Outre les dégénérescences physiques induites par le traitement (et classées dans les effets secondaires), on peut vite remarquer la lenteur d’esprit, les vides durant parfois plusieurs minutes, les incohérences, les sentiments de planer par moments suivis de périodes dépressives, et dans certains cas, le passage à l’acte suicidaire, voire les crises de folie meurtrière (voir critère 3). Mais même avant ce traitement, le simple fait de se retrouver dans le bureau d’un psychiatre peut déstabiliser mentalement le patient, qui ne sait plus trop quoi penser.

Critère numéro 2 : le caractère exorbitant des exigences financières

Le coût d’un patient en Hopital Psychiatrique est estimé à 400 euros par jour, sans y ajouter les « soins » qui vont lui être faits. Ceci étant principalement payé par les contribuables, la psychiatrie réclame toujours plus de milliards d’euros en termes de subventions. Ce qui peut en soi être considéré comme des exigences financières au caractère exorbitant (notez que ce critère n’est pas de moi. La psychiatrie ferait-elle du bien aux gens, je serais le premier à être heureux d’investir dedans pour le bien des patients). Il n’y a pas un jour sans que la presse se fasse le relai des exigences des psychiatres en matière de subventions.

Les psychiatres en cabinet se font payer en moyenne 50 euros la consultation, parfois pour 10 minutes. Un peu exorbitant à mon sens pour un travail que de plus en plus de médecins considèrent comme un travail de prescripteur.

Critère 3 : la rupture avec l’environnement d’origine

L’homme interné est en totale rupture avec son environnement d’origine. Bien souvent avec une interdiction de voir ses proches et un refus de le laisser sortir de manière physiquement contraignante. Je ne sais quelle est la différence entre un internement sous contrainte et une séquestration. Quoi qu’il en soit, il y a incontestablement pour le patient une rupture avec son environnement d’origine.

Critère 4 : l’existence d’atteintes à l’intégrité physique

Les électrochocs, rebaptisés « sismothérapie » pour des raisons de marketing, sont des atteintes à l’intégrité physique, causant des dommages irrémédiables dans le cerveau. Les camisoles chimiques sont aussi des atteintes à l’intégrité physique. Un antipsychotique parmi d’autres, prescrit à tout va (et très lucratif pour le laboratoire qui le produit), le Zoloft, cumule les effets secondaires suivants :

. Affections hématologiques et du système lymphatique . Affections du système immunitaire . Affections endocriniennes . Troubles du métabolisme et de la nutrition . Affections psychiatriques . Affections du système nerveux . Affections oculaires . Affections de l’oreille et du labyrinthe . Affections cardiaques . Affections vasculaires . Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales . Affections gastro-intestinales . Affections hépatobiliaires . Affections de la peau et du tissu sous-cutané . Affections du rein et des voies urinaires . Affections des organes de reproduction et du sein . Des cas d’idées et de comportements suicidaires ont été rapportés durant le traitement par ZOLOFT ou peu après son arrêt . levée de l’inhibition psychomotrice, avec risque suicidaire . inversion de l’humeur avec apparition d’épisodes maniaques . réactivation d’un délire chez les sujets psychotiques ; . manifestations d’angoisse.

Si ça s’est pas une atteinte à l’intégrité physique...

Critère numéro 5 : l’embrigadement des enfants, le discours antisocial, les troubles à l’ordre public

Récemment, le Prozac a été autorisé en prescription pour les enfants à partir de 8 ans. Il n’y a pas si longtemps des psychiatres de l’INSERM préconisaient le dépistage de la maladie mentale chez les enfants à partir de 3 ans. Dans les écoles, les tests psychiatriques sont de plus en plus nombreux, pour déceler une éventuelle « maladie mentale » chez l’enfant. Avant, l’enfant turbulent était turbulent. Aujourd’hui il est hyperactif et doit être mis sous psychotropes. Voilà pour l’embrigadement des enfants.

Le discours antisocial et les troubles à l’ordre public ont été institutionnalisés par les psychiatres nazis (80% des psychiatres allemands sous le nazisme ont collaboré à l’euthanasie des aliénés, et des opposants), et la psychiatrie soviétique, au service du parti. Les nombreux tueurs fous tout droits sortis des hôpitaux psys et des traitements psys peuvent facilement être considérés comme des troubles à l’ordre public. Comme c’est bien souvent le traitement (et le psychiatre qui l’administre) qui est la cause de ce dérapage (je rappelle l’effet secondaire du zoloft : levée de l’inhibition psychomotrice, avec risque suicidaire ; inversion de l’humeur avec apparition d’épisodes maniaques, réactivation d’un délire chez les sujets psychotiques), on peut en conclure sans crainte qu’il y a trouble à l’ordre public.

Critère 6 : l’importance des démêlés judiciaires

A en croire les médias, vu le nombre de psychiatres arrêtés et jugés chaque année pour viol, abus, fraude et tutti quanti, le critère 6 est établi sans aucune hésitation.

Critère 7 : l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels

Alors là, je ne suis pas un spécialiste. Mais on peut tout de même faire référence au rapport Zarifan, et aux derniers rapports de l’IGAS sur le sujet, qui mettaient en évidence les collusions entre la psychiatrie et les laboratoires pharmaceutiques qui produisent les pilules miracles de la camisole chimique. Les psychiatres sont payés par les labos pour faire la promotion des molécules, et par l’AFSSAPS pour mener les études qui permettront d’autoriser le « médicament » sur le marché, l’AFSSAPS étant payée elle-même à 80% par les labos. Ca ne me semble pas très clair :-)

Et le dernier, le critère number 8 : les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics

Il y a des psychiatres dans toutes les administrations. Même la Miviludes à l’origine de ma réflexion en a en son sein. Ils font du lobbying pour être placés aux endroits les plus clés des gouvernements. Je pourrais aussi citer la phrase célèbre de J. R. Rees, psychiatre Président du Conseil national pour l’hygiène mentale en 1940, qui dressait le plan de la psychiatrie mondiale : « Nous devons nous assurer qu’elle (la psychiatrie) s’infiltre dans chaque activité éducative de notre pays. Les secteurs public, politique et industriel devraient faire partie de notre sphère d’influence. »

Et ce plan fonctionne bien, puisque si proche de nous, notre actuelle Ministre de la santé défend fermement le droit de la psychiatrie à enfermer des gens arbitrairement.

Auparavant, vous pouviez être enfermés à la demande d’un tiers (je sais, on a du mal à y croire, mais il suffit d’avoir rencontré un ou deux cas de ce type pour perdre toute illusion à ce sujet).

Mais même cette demande venant d’un tiers, c’est trop compliqué. Alors que nous dit Roselyne, interviewée par « soins psychiatrie » ?

« Lorsqu’une personne a besoin de soins psychiatriques mais qu’elle n’y consent pas, sans présenter un état de dangerosité, il est parfois très difficile de “trouver un tiers” pour signer la demande d’hospitalisation. Les professionnels font au mieux et je sais qu’ils ne ménagent pas leurs efforts pour permettre au patient d’être pris en charge. Nous devons néanmoins adapter cette procédure, pour faciliter l’accès aux soins en clarifiant le rôle du tiers. Le tiers doit devenir un demandeur, non pas d’une hospitalisation mais de soins, sans avoir à se prononcer sur la modalité de ces soins, et nous devons créer une procédure applicable en l’absence de tiers ».

Notez bien que vous pourrez (ou votre enfant, votre mari, votre soeur, etc) être enfermés, même « sans présenter un état de dangerosité ».

Ah bah ils y sont bien, infiltrés dans les pouvoirs publics. On n’est même plus dans une « tentative ».

Alors finalement, il faut me rendre à l’évidence, LA PSYCHIATRIE EST UNE SECTE.

Merci la Miviludes, j’espère que vous en parlerez dans votre prochain rapport, s’il reste encore certains d’entre nous pour le lire.

Comme vous l’avez peut-être remarqué, je suis en verve en ce moment concernant la toujours étonnante psychiatrie. C’est l’actualité qui m’a conduit à écrire ce qui vient. La sortie récente du rapport 2009 de la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) a fait germer en moi cette idée saugrenue au premier abord : « et si la psychiatrie était une secte ! »

J’ai donc découvert que ladite Miviludes conseillait quelques critères pour déceler l’aspect sectaire d’un mouvement, critères élaborés en 1995 par une commission parlementaire. Et j’ai passé la psychiatrie à l’épreuve de ces critères, pour avoir une idée plus précise de ce que me dictait mon intuition.

Les résultats sont là :

Critère number one : la déstabilisation mentale

S’il vous est déjà arrivé de rencontrer quelqu’un sous traitement psychiatrique, sous camisole chimique ou sous antipsychiotiques, force est pour vous de constater que son état mental n’est plus le même. Outre les dégénérescences physiques induites par le traitement (et classées dans les effets secondaires), on peut vite remarquer la lenteur d’esprit, les vides durant parfois plusieurs minutes, les incohérences, les sentiments de planer par moments suivis de périodes dépressives, et dans certains cas, le passage à l’acte suicidaire, voire les crises de folie meurtrière (voir critère 3). Mais même avant ce traitement, le simple fait de se retrouver dans le bureau d’un psychiatre peut déstabiliser mentalement le patient, qui ne sait plus trop quoi penser.

Critère numéro 2 : le caractère exorbitant des exigences financières

Le coût d’un patient en Hopital Psychiatrique est estimé à 400 euros par jour, sans y ajouter les « soins » qui vont lui être faits. Ceci étant principalement payé par les contribuables, la psychiatrie réclame toujours plus de milliards d’euros en termes de subventions. Ce qui peut en soi être considéré comme des exigences financières au caractère exorbitant (notez que ce critère n’est pas de moi. La psychiatrie ferait-elle du bien aux gens, je serais le premier à être heureux d’investir dedans pour le bien des patients). Il n’y a pas un jour sans que la presse se fasse le relai des exigences des psychiatres en matière de subventions.

Les psychiatres en cabinet se font payer en moyenne 50 euros la consultation, parfois pour 10 minutes. Un peu exorbitant à mon sens pour un travail que de plus en plus de médecins considèrent comme un travail de prescripteur.

Critère 3 : la rupture avec l’environnement d’origine

L’homme interné est en totale rupture avec son environnement d’origine. Bien souvent avec une interdiction de voir ses proches et un refus de le laisser sortir de manière physiquement contraignante. Je ne sais quelle est la différence entre un internement sous contrainte et une séquestration. Quoi qu’il en soit, il y a incontestablement pour le patient une rupture avec son environnement d’origine.

Critère 4 : l’existence d’atteintes à l’intégrité physique

Les électrochocs, rebaptisés « sismothérapie » pour des raisons de marketing, sont des atteintes à l’intégrité physique, causant des dommages irrémédiables dans le cerveau. Les camisoles chimiques sont aussi des atteintes à l’intégrité physique. Un antipsychotique parmi d’autres, prescrit à tout va (et très lucratif pour le laboratoire qui le produit), le Zoloft, cumule les effets secondaires suivants :

. Affections hématologiques et du système lymphatique . Affections du système immunitaire . Affections endocriniennes . Troubles du métabolisme et de la nutrition . Affections psychiatriques . Affections du système nerveux . Affections oculaires . Affections de l’oreille et du labyrinthe . Affections cardiaques . Affections vasculaires . Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales . Affections gastro-intestinales . Affections hépatobiliaires . Affections de la peau et du tissu sous-cutané . Affections du rein et des voies urinaires . Affections des organes de reproduction et du sein . Des cas d’idées et de comportements suicidaires ont été rapportés durant le traitement par ZOLOFT ou peu après son arrêt . levée de l’inhibition psychomotrice, avec risque suicidaire . inversion de l’humeur avec apparition d’épisodes maniaques . réactivation d’un délire chez les sujets psychotiques ; . manifestations d’angoisse.

Si ça s’est pas une atteinte à l’intégrité physique...

Critère numéro 5 : l’embrigadement des enfants, le discours antisocial, les troubles à l’ordre public

Récemment, le Prozac a été autorisé en prescription pour les enfants à partir de 8 ans. Il n’y a pas si longtemps des psychiatres de l’INSERM préconisaient le dépistage de la maladie mentale chez les enfants à partir de 3 ans. Dans les écoles, les tests psychiatriques sont de plus en plus nombreux, pour déceler une éventuelle « maladie mentale » chez l’enfant. Avant, l’enfant turbulent était turbulent. Aujourd’hui il est hyperactif et doit être mis sous psychotropes. Voilà pour l’embrigadement des enfants.

Le discours antisocial et les troubles à l’ordre public ont été institutionnalisés par les psychiatres nazis (80% des psychiatres allemands sous le nazisme ont collaboré à l’euthanasie des aliénés, et des opposants), et la psychiatrie soviétique, au service du parti. Les nombreux tueurs fous tout droits sortis des hôpitaux psys et des traitements psys peuvent facilement être considérés comme des troubles à l’ordre public. Comme c’est bien souvent le traitement (et le psychiatre qui l’administre) qui est la cause de ce dérapage (je rappelle l’effet secondaire du zoloft : levée de l’inhibition psychomotrice, avec risque suicidaire ; inversion de l’humeur avec apparition d’épisodes maniaques, réactivation d’un délire chez les sujets psychotiques), on peut en conclure sans crainte qu’il y a trouble à l’ordre public.

Critère 6 : l’importance des démêlés judiciaires

A en croire les médias, vu le nombre de psychiatres arrêtés et jugés chaque année pour viol, abus, fraude et tutti quanti, le critère 6 est établi sans aucune hésitation.

Critère 7 : l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels

Alors là, je ne suis pas un spécialiste. Mais on peut tout de même faire référence au rapport Zarifan, et aux derniers rapports de l’IGAS sur le sujet, qui mettaient en évidence les collusions entre la psychiatrie et les laboratoires pharmaceutiques qui produisent les pilules miracles de la camisole chimique. Les psychiatres sont payés par les labos pour faire la promotion des molécules, et par l’AFSSAPS pour mener les études qui permettront d’autoriser le « médicament » sur le marché, l’AFSSAPS étant payée elle-même à 80% par les labos. Ca ne me semble pas très clair :-)

Et le dernier, le critère number 8 : les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics

Il y a des psychiatres dans toutes les administrations. Même la Miviludes à l’origine de ma réflexion en a en son sein. Ils font du lobbying pour être placés aux endroits les plus clés des gouvernements. Je pourrais aussi citer la phrase célèbre de J. R. Rees, psychiatre Président du Conseil national pour l’hygiène mentale en 1940, qui dressait le plan de la psychiatrie mondiale : « Nous devons nous assurer qu’elle (la psychiatrie) s’infiltre dans chaque activité éducative de notre pays. Les secteurs public, politique et industriel devraient faire partie de notre sphère d’influence. »

Et ce plan fonctionne bien, puisque si proche de nous, notre actuelle Ministre de la santé défend fermement le droit de la psychiatrie à enfermer des gens arbitrairement.

Auparavant, vous pouviez être enfermés à la demande d’un tiers (je sais, on a du mal à y croire, mais il suffit d’avoir rencontré un ou deux cas de ce type pour perdre toute illusion à ce sujet).

Mais même cette demande venant d’un tiers, c’est trop compliqué. Alors que nous dit Roselyne, interviewée par « soins psychiatrie » ?

« Lorsqu’une personne a besoin de soins psychiatriques mais qu’elle n’y consent pas, sans présenter un état de dangerosité, il est parfois très difficile de “trouver un tiers” pour signer la demande d’hospitalisation. Les professionnels font au mieux et je sais qu’ils ne ménagent pas leurs efforts pour permettre au patient d’être pris en charge. Nous devons néanmoins adapter cette procédure, pour faciliter l’accès aux soins en clarifiant le rôle du tiers. Le tiers doit devenir un demandeur, non pas d’une hospitalisation mais de soins, sans avoir à se prononcer sur la modalité de ces soins, et nous devons créer une procédure applicable en l’absence de tiers ».

Notez bien que vous pourrez (ou votre enfant, votre mari, votre soeur, etc) être enfermés, même « sans présenter un état de dangerosité ».

Ah bah ils y sont bien, infiltrés dans les pouvoirs publics. On n’est même plus dans une « tentative ».

Alors finalement, il faut me rendre à l’évidence, LA PSYCHIATRIE EST UNE SECTE.

Merci la Miviludes, j’espère que vous en parlerez dans votre prochain rapport, s’il reste encore certains d’entre nous pour le lire.

Comme vous l’avez peut-être remarqué, je suis en verve en ce moment concernant la toujours étonnante psychiatrie. C’est l’actualité qui m’a conduit à écrire ce qui vient. La sortie récente du rapport 2009 de la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) a fait germer en moi cette idée saugrenue au premier abord : « et si la psychiatrie était une secte ! »

J’ai donc découvert que ladite Miviludes conseillait quelques critères pour déceler l’aspect sectaire d’un mouvement, critères élaborés en 1995 par une commission parlementaire. Et j’ai passé la psychiatrie à l’épreuve de ces critères, pour avoir une idée plus précise de ce que me dictait mon intuition.

Les résultats sont là :

Critère number one : la déstabilisation mentale

S’il vous est déjà arrivé de rencontrer quelqu’un sous traitement psychiatrique, sous camisole chimique ou sous antipsychiotiques, force est pour vous de constater que son état mental n’est plus le même. Outre les dégénérescences physiques induites par le traitement (et classées dans les effets secondaires), on peut vite remarquer la lenteur d’esprit, les vides durant parfois plusieurs minutes, les incohérences, les sentiments de planer par moments suivis de périodes dépressives, et dans certains cas, le passage à l’acte suicidaire, voire les crises de folie meurtrière (voir critère 3). Mais même avant ce traitement, le simple fait de se retrouver dans le bureau d’un psychiatre peut déstabiliser mentalement le patient, qui ne sait plus trop quoi penser.

Critère numéro 2 : le caractère exorbitant des exigences financières

Le coût d’un patient en Hopital Psychiatrique est estimé à 400 euros par jour, sans y ajouter les « soins » qui vont lui être faits. Ceci étant principalement payé par les contribuables, la psychiatrie réclame toujours plus de milliards d’euros en termes de subventions. Ce qui peut en soi être considéré comme des exigences financières au caractère exorbitant (notez que ce critère n’est pas de moi. La psychiatrie ferait-elle du bien aux gens, je serais le premier à être heureux d’investir dedans pour le bien des patients). Il n’y a pas un jour sans que la presse se fasse le relai des exigences des psychiatres en matière de subventions.

Les psychiatres en cabinet se font payer en moyenne 50 euros la consultation, parfois pour 10 minutes. Un peu exorbitant à mon sens pour un travail que de plus en plus de médecins considèrent comme un travail de prescripteur.

Critère 3 : la rupture avec l’environnement d’origine

L’homme interné est en totale rupture avec son environnement d’origine. Bien souvent avec une interdiction de voir ses proches et un refus de le laisser sortir de manière physiquement contraignante. Je ne sais quelle est la différence entre un internement sous contrainte et une séquestration. Quoi qu’il en soit, il y a incontestablement pour le patient une rupture avec son environnement d’origine.

Critère 4 : l’existence d’atteintes à l’intégrité physique

Les électrochocs, rebaptisés « sismothérapie » pour des raisons de marketing, sont des atteintes à l’intégrité physique, causant des dommages irrémédiables dans le cerveau. Les camisoles chimiques sont aussi des atteintes à l’intégrité physique. Un antipsychotique parmi d’autres, prescrit à tout va (et très lucratif pour le laboratoire qui le produit), le Zoloft, cumule les effets secondaires suivants :

. Affections hématologiques et du système lymphatique . Affections du système immunitaire . Affections endocriniennes . Troubles du métabolisme et de la nutrition . Affections psychiatriques . Affections du système nerveux . Affections oculaires . Affections de l’oreille et du labyrinthe . Affections cardiaques . Affections vasculaires . Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales . Affections gastro-intestinales . Affections hépatobiliaires . Affections de la peau et du tissu sous-cutané . Affections du rein et des voies urinaires . Affections des organes de reproduction et du sein . Des cas d’idées et de comportements suicidaires ont été rapportés durant le traitement par ZOLOFT ou peu après son arrêt . levée de l’inhibition psychomotrice, avec risque suicidaire . inversion de l’humeur avec apparition d’épisodes maniaques . réactivation d’un délire chez les sujets psychotiques ; . manifestations d’angoisse.

Si ça s’est pas une atteinte à l’intégrité physique...

Critère numéro 5 : l’embrigadement des enfants, le discours antisocial, les troubles à l’ordre public

Récemment, le Prozac a été autorisé en prescription pour les enfants à partir de 8 ans. Il n’y a pas si longtemps des psychiatres de l’INSERM préconisaient le dépistage de la maladie mentale chez les enfants à partir de 3 ans. Dans les écoles, les tests psychiatriques sont de plus en plus nombreux, pour déceler une éventuelle « maladie mentale » chez l’enfant. Avant, l’enfant turbulent était turbulent. Aujourd’hui il est hyperactif et doit être mis sous psychotropes. Voilà pour l’embrigadement des enfants.

Le discours antisocial et les troubles à l’ordre public ont été institutionnalisés par les psychiatres nazis (80% des psychiatres allemands sous le nazisme ont collaboré à l’euthanasie des aliénés, et des opposants), et la psychiatrie soviétique, au service du parti. Les nombreux tueurs fous tout droits sortis des hôpitaux psys et des traitements psys peuvent facilement être considérés comme des troubles à l’ordre public. Comme c’est bien souvent le traitement (et le psychiatre qui l’administre) qui est la cause de ce dérapage (je rappelle l’effet secondaire du zoloft : levée de l’inhibition psychomotrice, avec risque suicidaire ; inversion de l’humeur avec apparition d’épisodes maniaques, réactivation d’un délire chez les sujets psychotiques), on peut en conclure sans crainte qu’il y a trouble à l’ordre public.

Critère 6 : l’importance des démêlés judiciaires

A en croire les médias, vu le nombre de psychiatres arrêtés et jugés chaque année pour viol, abus, fraude et tutti quanti, le critère 6 est établi sans aucune hésitation.

Critère 7 : l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels

Alors là, je ne suis pas un spécialiste. Mais on peut tout de même faire référence au rapport Zarifan, et aux derniers rapports de l’IGAS sur le sujet, qui mettaient en évidence les collusions entre la psychiatrie et les laboratoires pharmaceutiques qui produisent les pilules miracles de la camisole chimique. Les psychiatres sont payés par les labos pour faire la promotion des molécules, et par l’AFSSAPS pour mener les études qui permettront d’autoriser le « médicament » sur le marché, l’AFSSAPS étant payée elle-même à 80% par les labos. Ca ne me semble pas très clair :-)

Et le dernier, le critère number 8 : les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics

Il y a des psychiatres dans toutes les administrations. Même la Miviludes à l’origine de ma réflexion en a en son sein. Ils font du lobbying pour être placés aux endroits les plus clés des gouvernements. Je pourrais aussi citer la phrase célèbre de J. R. Rees, psychiatre Président du Conseil national pour l’hygiène mentale en 1940, qui dressait le plan de la psychiatrie mondiale : « Nous devons nous assurer qu’elle (la psychiatrie) s’infiltre dans chaque activité éducative de notre pays. Les secteurs public, politique et industriel devraient faire partie de notre sphère d’influence. »

Et ce plan fonctionne bien, puisque si proche de nous, notre actuelle Ministre de la santé défend fermement le droit de la psychiatrie à enfermer des gens arbitrairement.

Auparavant, vous pouviez être enfermés à la demande d’un tiers (je sais, on a du mal à y croire, mais il suffit d’avoir rencontré un ou deux cas de ce type pour perdre toute illusion à ce sujet).

Mais même cette demande venant d’un tiers, c’est trop compliqué. Alors que nous dit Roselyne, interviewée par « soins psychiatrie » ?

« Lorsqu’une personne a besoin de soins psychiatriques mais qu’elle n’y consent pas, sans présenter un état de dangerosité, il est parfois très difficile de “trouver un tiers” pour signer la demande d’hospitalisation. Les professionnels font au mieux et je sais qu’ils ne ménagent pas leurs efforts pour permettre au patient d’être pris en charge. Nous devons néanmoins adapter cette procédure, pour faciliter l’accès aux soins en clarifiant le rôle du tiers. Le tiers doit devenir un demandeur, non pas d’une hospitalisation mais de soins, sans avoir à se prononcer sur la modalité de ces soins, et nous devons créer une procédure applicable en l’absence de tiers ».

Notez bien que vous pourrez (ou votre enfant, votre mari, votre soeur, etc) être enfermés, même « sans présenter un état de dangerosité ».

Ah bah ils y sont bien, infiltrés dans les pouvoirs publics. On n’est même plus dans une « tentative ».

Alors finalement, il faut me rendre à l’évidence, LA PSYCHIATRIE EST UNE SECTE.

Merci la Miviludes, j’espère que vous en parlerez dans votre prochain rapport, s’il reste encore certains d’entre nous pour le lire.

ILINES

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