Où TOUT pourrait s'écrire
Tout ce qui peut sortir
D'un cerveau, sans impasse occultée
Sans aucune censure
Et donc sans aucun commentaire
Car la vérité d'un commentaire
C'est d'être une censure
Qui fausse le jugement
Qui sent donc, le militant
Il faut être sans cause
Pour ne risquer aucun effet
La personne qui lit
Toute seule, doit se faire son avis
Sans l'intermédiaire toujours laid
D'inutiles et superflus commentaires
Car les gens qui aiment
Ce que je n'aime pas
Les Michel Onfray (né en 1959)
Les feu Michel Foucault (1926-1984)
Les feu Jean-Paul Sartre (1905-1980)
Des staliniens, ou la pensée mise au pas !
Ceux et celles, qui à la vérité, rien ne sème
Ne m'aiment pas et c'est un bienfait !
Tout film qui passe à la télévision
A maintenant sa présentation
Pour expliquer de quoi il s'agit
Le téléspectateur, pour un imbécile, est pris
Il faut orienter sa compréhension
La basoche fait bonne garde, il faut museler l'opinion
Sur toute la surface de l'expression contrôlée
De la radio à internet, cette parousie, l'on peut constater
Pour que la domination puisse riboter
Et toutes les officines du capitalisme
Du gauchisme au fascisme
Scrupuleusement, sont là, pour y veiller !
Et puis quand l'anonymat
N'est pas vraiment nécessaire
C'est mesquin et très bas
D'inconnus et étranges commentaires
Diffamation et déformation, policiers commentaires
Oh oui, à quand un espace libéré ?
Avec, comme charte appliquée
Ici pas le moindre commentaire
Pas de présentation, à chacun son air
Tout à l'état brut
Pour des écrits qui mutent
Pas la moindre propagande
Aucun esprit de bande
Vous écrivez ce que vous pouvez
Si on vous lit, tant mieux
Si on ne vous lit pas, tant pis
Mais dans l'infinitésimal, vous aurez tracé
Et sans aucune classification
Et surtout, sans aucune domestication
Et sans aucun jugement
Sans aucun parti pris militant
De la psychanalyse bon marché
Un hurloir, pour pouvoir se vider
Nos valises sont lourdes à porter
Oh oui, à quand un espace libéré ?
Tout être humain est un continent inconnu
Inénarrable, même pour ses élus
Le doute est un ravissement moral
Une lévitation psychologique, aux pensées sales
Je suis ce que sont les autres
Les autres sont ce que je suis
Femmes, hommes, enfants, tout nous suit
C'est moi, si j'avais été lui
C'est moi, si j'avais été elle
Je vis quand il vit
Je meurs quand il meurt
Je vis quand elle vit
Je meurs quand elle meurt
Et tout étant ainsi
Si nous le savions vraiment, cela serait l'anarchie !
Sur les billets de banque
Dans cette Europe qui manque
Sur les euros, s'affiche la hiérarchie
Où la neutralité est vue par l'oligarchie
Cinq euros = style architectural classique, premier siècle
Dix euros = style architectural roman, 11 et 12ème siècle
Vingt euros = style architectural gothique, 13 et 14ème siècle
Cinquante euros = style architectural renaissance, 15 et 16ème siècle
Cent euros = style architectural baroque, 17 et 18ème siècle
Deux cent euros = style architectural art nouveau, 19 et 20ème siècle
Cinq cent euros = style architectural moderne, 20 et 21ème siècle
Robert Kalina ( né en 1955 ) en fut le graphiste
De la banque, il est un fils
Pour les pauvres en pleine indigence
C'est même pas la renaissance
Et surtout le classique maléfique
Pour les riches mirifiques
C'est l'art nouveau, le moderne
Il suffit de décoder l'arcane symbolique !
La société spectaculaire marchande techno-industrielle
Est une longue élégie pour l'acédie
Des humains, et de tout ce qui vit
Pour la mort des autres, l'humain prie !
Parmi les plus grands voleurs
Cependant, sont les assureurs
Et même les garagistes
Sont derrière eux, sur la liste !
Toute écriture vraiment dangereuse
Est refusée par tous les éditeurs
Cela n'est même pas la peine de chercher
Un pronostic que l'on est sur de gagner
Et l'anthologie de la subversion autorisée
Publiée, est une supercherie, de mandarins adulés
La subversion sauvage reste anonyme
A ses trousses, les chasseurs de prime
Gauchistes, staliniens, fascistes, libéraux, et même anarchistes
Personne n'en veut, elle reste inconnue
Son langage est d'ailleurs, même pas cru !
Pour elle
Le gauchisme est un conservatisme
Comme son frère, le fascisme
La société aliénée et son monde de l'édition
Ne peut accepter, à la radio, à la télévision
Que la subversion à bonne présentation
Aliénation de la subversion, subversion de l'aliénation
Sinon, et tant mieux, aucune accréditation !
Crachats, injures, calomnies, jalousies, la damnation
Pour l'écriture d'une vraie révolution
Toute la machine médiatique
Gomme les causes, ne retient que les effets
Ce qui sur son monde, évacue toute critique
Du néant surgissent les faits !
Il me faut écrire clandestinement
Et l'on peut me lire gratuitement
En cherchant avec ténacité, sur internet
Le monde de l'édition est si malhonnête
Tous mes écrits disséminés
Pour quelques très rares initiés
Ainsi, à ma façon, je me suis édité !
Aussitôt lu, aussitôt oublié
Comme dans une maison de passe
Et ainsi, plus aucune trace !
L'édition est aux mains des bourgeoisies
Copinage, magouille, opportunisme, les éditions libertaires, aussi
Partout, il en va ainsi !
De ce fait, les plus belles idées
Nous restent à jamais inconnues
Car ce sont celles de la rue !
Patrice Faubert ( 2013 ) puète, pouète, peuète, Pat dit l'invité sur "hiway.fr"
There should be a free space
Where ALL may write
Anything that can get
From a brain dead without hidden
Uncensored
And therefore no comment
Because the truth a comment
This is to be censorship
Which distorts the judgment
Therefore feels that the activist
Must be without cause
To avoid risking any effect
The person who reads
Alone, his opinion should be
Without the intermediary always ugly
Unnecessary and superfluous comments
For people who love
I do not like
The Michel Onfray (born in 1959)
The late Michel Foucault (1926-1984)
The late Jean-Paul Sartre (1905-1980)
Stalinists, or thought put in it!
Those which, in truth, nothing sows
Do not like me and it is a blessing!
Any film that's on TV
A presentation now
To explain what it is
Viewers for a fool, is taken
Must guide his understanding
The fact basoche guard must stifle opinion
Over the entire surface of the controlled expression
Internet radio, the parousia, it can be seen
For domination can riboter
And all pharmacies capitalism
The leftist fascism
Carefully, are there to ensure there!
And then when anonymity
Is not really necessary
It is petty and very low
On unknown and strange comments
Defamation and distortion, police comments
Oh yes, when a free space?
With, as applied charter
Not any comment here
No presentation, to each his air
All the raw
For writings that mutate
Not the slightest propaganda
No spirit band
You write that you can
If you read, the better
If you do not read, so what
But in the infinitesimal trace you
And without classification
And most importantly, no domestication
And without judgment
Without bias militant
Of psychoanalysis cheap
A hurloir, in order to empty
Our bags are heavy to carry
Oh yes, when a free space?
Every human being is a continent unknown
Hilarious, even for elected officials
Doubt is a delight moral
Levitation psychological dirty thoughts
I am what are the other
Others are what I am
Women, men, children, everything follows
This is me, if I were him
This is me, if I had been her
I saw when he saw
I die when he dies
I saw when she saw
I die when she dies
And all was well
If we really knew, it would be anarchy!
On banknotes
In Europe that lack
The euro, the hierarchy is displayed
Where neutrality is seen by the oligarchy
Five euros = classic architectural style, first century
Ten euros = Romanesque architectural style, 11th and 12th century
Twenty euros = Gothic architectural style, 13th and 14th century
Fifty euros = style architectural renaissance, 15th and 16th century
Hundred euros = Baroque architectural style, 17th and 18th century
Two hundred euros = new architectural style art, 19th and 20th century
Five hundred euros = modern architectural style, 20 and 21st century
Robert Kalina (born 1955) was the designer
Of the bank, he is a son
For the poor in full poverty
It's not even the renaissance
And especially the classic evil
For the rich outlandish
This is the new art, the modern
Just decode the arcane symbolism!
Spectacular society techno-industrial market
Is a long elegy for acedia
Humans and all living things
For the death of others, humans please!
Among the most big thieves
However, insurers are
And even garages
Behind them on the list!
All scripture really dangerous
Is rejected by all publishers
This is not even bother to look
Prognosis that we are on to win
And authorized anthology of subversion
Published, is a fraud, mandarins adored
The wild remains anonymous subversion
At his heels, bounty hunters
Leftists, Stalinists, fascists, liberals, anarchists and even
Nobody wants it remains unknown
His language is also not even believe!
For her
Leftism is a conservative
Like his brother, fascism
Alienated society and the world of publishing
Can not accept, radio, television
The subversion good presentation
Alienation of subversion, subversion of alienation
Otherwise, all the better, no accreditation!
Spitting, insults, slander, jealousy, damnation
For writing a revolution
Any media machine
Gum causes, retains only the effects
What about his world, removes all critical
Facts emerge from nothingness!
I have to write clandestinely
And I can read for free
Tenaciously seeking on internet
The publishing world is so unfair
All my writings scattered
For very few insiders
Thus, in my own way, I edited!
Read immediately, soon forgotten
As in a brothel
And thus no trace!
The issue is in the hands of the bourgeoisie
Cronyism, scheming, opportunism, editions libertarians also
Everywhere it goes well!
Therefore, the best ideas
We remain forever unknown
Because they are those of the street!
Patrice Faubert (2013) puète, pouète, peuète, Pat said the guest on "hiway.fr"