Paraphysique du prodrome oukaze
Patrice Faubert | 03.12.2015 09:29 | Culture | World
Janvier 1962, 800 attentats
500 décès, attentats, assassinats
C'est l'OAS que voilà
Chaque époque, chaque temps
Avec ses assassinats et ses attentats
Dans un contexte de guerre d'Algérie
Avec feu ( 1927 - 1963 ) Jean-Marie Bastien Thiry
Ce catholique intégriste maurrassien
Pour l'Algérie française fut cet ultranationaliste
Il fut le chef de l'attentat du Petit-Clamart
Milice de neuf hommes contre le général De Gaulle, un traquenard
C'était le 22 août 1962, cela échoua
Un chauffeur présidentiel très habile, et voilà
L'OAS, cette organisation fasciste
Fut fondée en janvier 1961, en Espagne franquiste
Thiry fut fusillé le 11 mars 1963
Et de la complicité au sommet de l'Etat
Un président élu en 1974 pourrait en être, voilà
Mais des attentats contre le chef gaulliste
Furent habituels, longue en est la liste
Donc, attentats ou assassinats
Donc du terrorisme, c'est bien cela
Rien de nouveau sous le soleil
C'est toujours la guerre, c'est toujours pareil
Comme un disque qui raye !
En France
Et personne ne criait à l'outrance
Le président de la République
Cet outrage à la vie publique
Donc, il était élu
Et ce, toute honte bue
Par les députés et les sénateurs
Pas de suffrage universel, pas encore l'heure
Et cela se passait à Versailles
Elle ose tout la canaille
Et j'éprouve une grande fierté
De ne jamais avoir voté
Car ma voix
Comme une profession de foi
A personne je ne veux la donner
De moi, personne ne peut se réclamer !
Car toujours, pour un tyran, tu votes
Et en pleine face, il rote
Ainsi
Depuis la première COP en 1991
45 pour cent des émissions de gaz à l'effet de serre
En plus, pas en moins, et tout va devenir réactionnaire
Comme un éternel procès Pétain
De l'été 1945, toujours l'on y revient
Ceux qui le jugèrent
Avec lui, furent ceux qui collaborèrent
Toute une politique opportuniste
Et à toute époque, aussi arriviste !
Tout l'aujourd'hui
Est du passé, c'est ainsi
Et qui se souvient
Cela prouve que tout se tient
Comme dans le creux d'une main
Dans les années 70
Un projet étatique pour éliminer la contestation sociale
La parquer dans des stades, l'ultime arme fatale
Le quotidien " Libération " fit part de ce mal
Révélant cette affaire qui fit scandale
Maintenant
Qui ose manifester
Peut avoir un oeil crevé
Qui ose manifester
Peut se faire arrêter
Et même préventivement, il fallait oser
Peut se faire tuer
Ou c'est la garde à vue immédiate
Un système de plus en plus psychopathe
La politique est une sale gueule
Je la récuse, je la dégueule
Il n'y a plus que du fascisme
Gauche, extrême gauche du fascisme
Droite, extrême droite du fascisme
Et chaque fascisme
Traite l'autre fascisme de fascisme !
Et bien moi le maléfique
Voilà mon programme politique
PENDEZ-LES HAUT ET COURT
Les gens doivent s'organiser
Sans plus personne pour s'organiser
Ni aucune organisation, ni aucun parti
C'est cela la révolution, c'est cela l'anarchie
Contre la société spectaculaire marchande techno-industrielle
Car c'est la vie perdue, la vie pas belle
C'est un peu à l'image de nos déchets
C'est mal fait, c'est bête, c'est laid
550 kg d'ordures ménagères
En France, par personne, cela colonise tout l'air
Car cela se termine à l'incinération
Et cela représente de la pollution
12 millions de tonnes de C02 en France
Peu de gens, hélas, en révolte, contre cette évidence
Et pour en traduire l'équivalence
Des millions de voitures qui 24 heures
Et donc durant 24 heures
Et cela pendant toute une année
Rouleraient sans jamais s'arrêter !
Et puis tous les emballages
Les couches jetables, l'industrie, toute une rage
Les bouteilles en verre qui ne sont plus consignées
Autrefois, pour les gosses, de l'argent de poche à récupérer
Et presque rien, en ville, n'est composté
Et tous les papiers
De toute la publicité
Dans les boîtes aux lettres, qui chaque année
Sont imperturbablement distribués
Ce qui représente pour chaque foyer
40 kg de papier par année
Sur ma propre boîte pour le courrier
Stop à la publicité avec un A collé
Refus de distribution, je l'ai marqué
Les autres, je ne peux les y obliger
Quand chez eux, je ne suis qu'un invité !
Comme le prodrome annoncé
De la vie industrielle comme fin de l'humanité
Et les gangsters qui paradent à la télé
Artistes policiers, savants policiers, intellectuels policiers
Sportifs policiers, présentatrices policières, présentateurs policiers
De la terreur politicienne, tous les alliés
En France et dans le monde entier
Nonobstant
Même en Chine, il y a de la révolte sociale
En rapport surtout à la dégradation environnementale
Le monde entier est une chambre à gaz
Pour la guerre sociale, peut-être l'oukaze
Ou bien un faux fait nouveau
Quand le vrai passe pour faux
Chaque parti contre chaque parti
Chaque organisation contre chaque organisation
Et ce dans une même idéologie
Et ce dans une même religion
Plus aucune possibilité de se comprendre
Plus aucune possibilité de s'entendre
Chacune contre chacune, chacun contre chacun
Voilà le capitalisme qui détruit tout lien
Un dernier grand massacre et le mot fin !
Donc, le fascisme libéral se porte bien
Qui nous conditionne, nous façonne crétines et crétins
Avec sa police, son armée, sa radio, sa télévision
Justement pour empêcher une révolution
La révolution de la révolution
Contre toutes les idéologies
Qui pour la vie, sont des saloperies
Contre toutes les religions
Qui pour la vie, sont des abominations
Par où commencer
Sinon, dans sa tête, avec le faubert, balayer
Nos vies ont toujours été en laisse
Le capital nous tient en laisse
Nous en sommes les esclaves
En punition, nous sommes enfermés dans des caves
Il n'y a plus que de la surenchère
Plus aucune liberté, tout dans le mortifère
C'est pourtant cela la vraie insécurité
Partout de la police, partout de l'armée
Mais par la propagande, les gens sont lobotomisés !
Et personne ne peut échapper à cette lobotomisation
C'est la propagande de la réaction
De droite, de gauche, de Tartempion
Et voici que maintenant
Cela va se passer en Chine, c'est déprimant
Une production industrielle par clonage
Des chiens, des chevaux, surtout des vaches
Pour détruire la bêtise, vite une hache
Bientôt une usine, le clonage par an, de un million de vaches
Mort à l'inhumanité qui fâche
Et forcément, surpopulation rime avec réaction
Quand tout apprentissage est de soumission !
Patrice Faubert ( 2015 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
January 1962, 800 attacks
500 deaths, bombings, assassinations
It is here that the OAS
Every time, every time
With its assassinations and bombings
In Algeria a war context
With fire (1927 - 1963) Jean-Marie Bastien Thiry
This fundamentalist Catholic Maurrassian
For French Algeria was the ultranationalist
He was the leader of the attack on the Petit-Clamart
Militia nine men against General de Gaulle, a trap
It was August 22, 1962, it failed
A very skilled driver presidential and here
The OAS, the fascist organization
Was founded in January 1961, Franco's Spain
Thiry was executed March 11 1963
And complicity at the top of the State
A president elected in 1974 might be, here
But the attacks against the Gaullist leader
Were normal, long is the list
So bombings or assassinations
So terrorism, is that right
Nothing new under the sun
It is always the war is always the same
As a disc that lines!
in France
And no one cried to excessive
The president of the Republic
This outrage in public life
So if elected
And, all sense of shame
By deputies and senators
No universal suffrage, not time
And this happened in Versailles
It dares all the rabble
And I am very proud
Never have voted
Because my voice
As a profession of faith
A person I will give
Me, nobody can claim!
As always, a tyrant, you vote
And in the face, he rote
So
Since the first COP in 1991
45 percent of emissions of greenhouse gases
In addition, no less, and everything will become reactionary
As an eternal Petain trial
From the summer of 1945, still they come back
Those who judged the
With him were those who collaborated
A whole opportunist policy
And at any time, too pushy!
All Today
Is of the past, thus
And who remembers
This proves that everything fits
As in the palm of a hand
In the 70s
A state project to eliminate social protest
The park in stages, the ultimate lethal weapon
The daily "Liberation" was from this evil
Revealing this case which caused a scandal
Now
Who dares protest
May have a punctured eye
Who dares protest
May be arrested
And even preventively, it was daring
May be killed
Or is immediate custody order
A system increasingly psychopathic
Politics is a dirty mouth
I rejects, I puke
There are more than fascism
Left, extreme left of fascism
Right, extreme right of fascism
And every fascism
Treats the other fascism Fascism!
Well me the evil
That is my political program
HANG THEM UP AND SHORT
People must organize
Without nobody to organize
Or any organization or any party
This is the revolution, this is anarchy
Against techno-industrial merchant spectacular society
For it is the life lost, not the good life
It's a bit like our waste
It's wrong, it's stupid, it's ugly
550 kg of household waste
In France, for person, it colonizes all air
Because it terminates at the incineration
And this represents pollution
12 million tons of C02 in France
Few people, alas, in revolt against this evidence
And to translate the equivalence
Millions of cars 24 hours
And so for 24 hours
And that for a whole year
Would roll without stopping!
And all packaging
Disposable diapers, industry, a rage
Glass bottles which are no longer recorded
Formerly, for kids, of spending money to recover
And almost nothing in the city, is composted
And all the papers
Any advertising
In mailboxes, which each year
Are distributed imperturbably
Which for every home
40 kg of paper per year
On my own box for mail
Stop advertising with a glued A
Distribution refusal, I marked
The other, I can not force them
When at home, I'm just a guest!
As announced prodrome
Of industrial life as the end of humanity
And gangsters who parade on TV
Artists policemen, police scholars, intellectuals police
Police athletes, presenting police, police presenters
The politician terror, all allies
In France and around the world
Notwithstanding
Even in China, there are social revolt
Especially in relation to environmental degradation
The whole world is a gas chamber
For the social war, perhaps ukaz
Or a false developments
When the real pass for false
Each party against each party
Each organization against each organization
And in the same ideology
And in the same religion
No possibility to understand
No possibility of agreeing
Each against each, each against each
That capitalism destroys any connection
One last great massacre and the last word!
So the Liberal Fascism is alive and well
Who conditions us, shapes us cretins and morons
With its police, its army, its radio, its television
Precisely to prevent a revolution
The revolution of the revolution
Against all ideologies
Who for life are crap
Against all religions
Who for a lifetime, are abominations
Where to begin
Otherwise, in his head with the mop, sweep
Our lives have always been allowed
Capital keeps us on leash
We are slaves
As punishment, we are locked in cellars
There are more than outbidding
No more freedom, while in the deadly
Yet it is true that insecurity
Everywhere the police, the army everywhere
But by propaganda, people are brainwashed!
And no one can escape this lobotomisation
This is propaganda of the reaction
Right, left, Tartempion
And here now
This will happen in China, it is depressing
Industrial production by cloning
Dogs, horses, mostly cows
To destroy stupidity, fast ax
Soon a mill, cloning a year one million cows
Death to the inhumanity that angers
And inevitably, overcrowding is synonymous with reaction
When all learning is submission!
Patrice Faubert (2015) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat told the guest on "hiway.fr"
500 décès, attentats, assassinats
C'est l'OAS que voilà
Chaque époque, chaque temps
Avec ses assassinats et ses attentats
Dans un contexte de guerre d'Algérie
Avec feu ( 1927 - 1963 ) Jean-Marie Bastien Thiry
Ce catholique intégriste maurrassien
Pour l'Algérie française fut cet ultranationaliste
Il fut le chef de l'attentat du Petit-Clamart
Milice de neuf hommes contre le général De Gaulle, un traquenard
C'était le 22 août 1962, cela échoua
Un chauffeur présidentiel très habile, et voilà
L'OAS, cette organisation fasciste
Fut fondée en janvier 1961, en Espagne franquiste
Thiry fut fusillé le 11 mars 1963
Et de la complicité au sommet de l'Etat
Un président élu en 1974 pourrait en être, voilà
Mais des attentats contre le chef gaulliste
Furent habituels, longue en est la liste
Donc, attentats ou assassinats
Donc du terrorisme, c'est bien cela
Rien de nouveau sous le soleil
C'est toujours la guerre, c'est toujours pareil
Comme un disque qui raye !
En France
Et personne ne criait à l'outrance
Le président de la République
Cet outrage à la vie publique
Donc, il était élu
Et ce, toute honte bue
Par les députés et les sénateurs
Pas de suffrage universel, pas encore l'heure
Et cela se passait à Versailles
Elle ose tout la canaille
Et j'éprouve une grande fierté
De ne jamais avoir voté
Car ma voix
Comme une profession de foi
A personne je ne veux la donner
De moi, personne ne peut se réclamer !
Car toujours, pour un tyran, tu votes
Et en pleine face, il rote
Ainsi
Depuis la première COP en 1991
45 pour cent des émissions de gaz à l'effet de serre
En plus, pas en moins, et tout va devenir réactionnaire
Comme un éternel procès Pétain
De l'été 1945, toujours l'on y revient
Ceux qui le jugèrent
Avec lui, furent ceux qui collaborèrent
Toute une politique opportuniste
Et à toute époque, aussi arriviste !
Tout l'aujourd'hui
Est du passé, c'est ainsi
Et qui se souvient
Cela prouve que tout se tient
Comme dans le creux d'une main
Dans les années 70
Un projet étatique pour éliminer la contestation sociale
La parquer dans des stades, l'ultime arme fatale
Le quotidien " Libération " fit part de ce mal
Révélant cette affaire qui fit scandale
Maintenant
Qui ose manifester
Peut avoir un oeil crevé
Qui ose manifester
Peut se faire arrêter
Et même préventivement, il fallait oser
Peut se faire tuer
Ou c'est la garde à vue immédiate
Un système de plus en plus psychopathe
La politique est une sale gueule
Je la récuse, je la dégueule
Il n'y a plus que du fascisme
Gauche, extrême gauche du fascisme
Droite, extrême droite du fascisme
Et chaque fascisme
Traite l'autre fascisme de fascisme !
Et bien moi le maléfique
Voilà mon programme politique
PENDEZ-LES HAUT ET COURT
Les gens doivent s'organiser
Sans plus personne pour s'organiser
Ni aucune organisation, ni aucun parti
C'est cela la révolution, c'est cela l'anarchie
Contre la société spectaculaire marchande techno-industrielle
Car c'est la vie perdue, la vie pas belle
C'est un peu à l'image de nos déchets
C'est mal fait, c'est bête, c'est laid
550 kg d'ordures ménagères
En France, par personne, cela colonise tout l'air
Car cela se termine à l'incinération
Et cela représente de la pollution
12 millions de tonnes de C02 en France
Peu de gens, hélas, en révolte, contre cette évidence
Et pour en traduire l'équivalence
Des millions de voitures qui 24 heures
Et donc durant 24 heures
Et cela pendant toute une année
Rouleraient sans jamais s'arrêter !
Et puis tous les emballages
Les couches jetables, l'industrie, toute une rage
Les bouteilles en verre qui ne sont plus consignées
Autrefois, pour les gosses, de l'argent de poche à récupérer
Et presque rien, en ville, n'est composté
Et tous les papiers
De toute la publicité
Dans les boîtes aux lettres, qui chaque année
Sont imperturbablement distribués
Ce qui représente pour chaque foyer
40 kg de papier par année
Sur ma propre boîte pour le courrier
Stop à la publicité avec un A collé
Refus de distribution, je l'ai marqué
Les autres, je ne peux les y obliger
Quand chez eux, je ne suis qu'un invité !
Comme le prodrome annoncé
De la vie industrielle comme fin de l'humanité
Et les gangsters qui paradent à la télé
Artistes policiers, savants policiers, intellectuels policiers
Sportifs policiers, présentatrices policières, présentateurs policiers
De la terreur politicienne, tous les alliés
En France et dans le monde entier
Nonobstant
Même en Chine, il y a de la révolte sociale
En rapport surtout à la dégradation environnementale
Le monde entier est une chambre à gaz
Pour la guerre sociale, peut-être l'oukaze
Ou bien un faux fait nouveau
Quand le vrai passe pour faux
Chaque parti contre chaque parti
Chaque organisation contre chaque organisation
Et ce dans une même idéologie
Et ce dans une même religion
Plus aucune possibilité de se comprendre
Plus aucune possibilité de s'entendre
Chacune contre chacune, chacun contre chacun
Voilà le capitalisme qui détruit tout lien
Un dernier grand massacre et le mot fin !
Donc, le fascisme libéral se porte bien
Qui nous conditionne, nous façonne crétines et crétins
Avec sa police, son armée, sa radio, sa télévision
Justement pour empêcher une révolution
La révolution de la révolution
Contre toutes les idéologies
Qui pour la vie, sont des saloperies
Contre toutes les religions
Qui pour la vie, sont des abominations
Par où commencer
Sinon, dans sa tête, avec le faubert, balayer
Nos vies ont toujours été en laisse
Le capital nous tient en laisse
Nous en sommes les esclaves
En punition, nous sommes enfermés dans des caves
Il n'y a plus que de la surenchère
Plus aucune liberté, tout dans le mortifère
C'est pourtant cela la vraie insécurité
Partout de la police, partout de l'armée
Mais par la propagande, les gens sont lobotomisés !
Et personne ne peut échapper à cette lobotomisation
C'est la propagande de la réaction
De droite, de gauche, de Tartempion
Et voici que maintenant
Cela va se passer en Chine, c'est déprimant
Une production industrielle par clonage
Des chiens, des chevaux, surtout des vaches
Pour détruire la bêtise, vite une hache
Bientôt une usine, le clonage par an, de un million de vaches
Mort à l'inhumanité qui fâche
Et forcément, surpopulation rime avec réaction
Quand tout apprentissage est de soumission !
Patrice Faubert ( 2015 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
January 1962, 800 attacks
500 deaths, bombings, assassinations
It is here that the OAS
Every time, every time
With its assassinations and bombings
In Algeria a war context
With fire (1927 - 1963) Jean-Marie Bastien Thiry
This fundamentalist Catholic Maurrassian
For French Algeria was the ultranationalist
He was the leader of the attack on the Petit-Clamart
Militia nine men against General de Gaulle, a trap
It was August 22, 1962, it failed
A very skilled driver presidential and here
The OAS, the fascist organization
Was founded in January 1961, Franco's Spain
Thiry was executed March 11 1963
And complicity at the top of the State
A president elected in 1974 might be, here
But the attacks against the Gaullist leader
Were normal, long is the list
So bombings or assassinations
So terrorism, is that right
Nothing new under the sun
It is always the war is always the same
As a disc that lines!
in France
And no one cried to excessive
The president of the Republic
This outrage in public life
So if elected
And, all sense of shame
By deputies and senators
No universal suffrage, not time
And this happened in Versailles
It dares all the rabble
And I am very proud
Never have voted
Because my voice
As a profession of faith
A person I will give
Me, nobody can claim!
As always, a tyrant, you vote
And in the face, he rote
So
Since the first COP in 1991
45 percent of emissions of greenhouse gases
In addition, no less, and everything will become reactionary
As an eternal Petain trial
From the summer of 1945, still they come back
Those who judged the
With him were those who collaborated
A whole opportunist policy
And at any time, too pushy!
All Today
Is of the past, thus
And who remembers
This proves that everything fits
As in the palm of a hand
In the 70s
A state project to eliminate social protest
The park in stages, the ultimate lethal weapon
The daily "Liberation" was from this evil
Revealing this case which caused a scandal
Now
Who dares protest
May have a punctured eye
Who dares protest
May be arrested
And even preventively, it was daring
May be killed
Or is immediate custody order
A system increasingly psychopathic
Politics is a dirty mouth
I rejects, I puke
There are more than fascism
Left, extreme left of fascism
Right, extreme right of fascism
And every fascism
Treats the other fascism Fascism!
Well me the evil
That is my political program
HANG THEM UP AND SHORT
People must organize
Without nobody to organize
Or any organization or any party
This is the revolution, this is anarchy
Against techno-industrial merchant spectacular society
For it is the life lost, not the good life
It's a bit like our waste
It's wrong, it's stupid, it's ugly
550 kg of household waste
In France, for person, it colonizes all air
Because it terminates at the incineration
And this represents pollution
12 million tons of C02 in France
Few people, alas, in revolt against this evidence
And to translate the equivalence
Millions of cars 24 hours
And so for 24 hours
And that for a whole year
Would roll without stopping!
And all packaging
Disposable diapers, industry, a rage
Glass bottles which are no longer recorded
Formerly, for kids, of spending money to recover
And almost nothing in the city, is composted
And all the papers
Any advertising
In mailboxes, which each year
Are distributed imperturbably
Which for every home
40 kg of paper per year
On my own box for mail
Stop advertising with a glued A
Distribution refusal, I marked
The other, I can not force them
When at home, I'm just a guest!
As announced prodrome
Of industrial life as the end of humanity
And gangsters who parade on TV
Artists policemen, police scholars, intellectuals police
Police athletes, presenting police, police presenters
The politician terror, all allies
In France and around the world
Notwithstanding
Even in China, there are social revolt
Especially in relation to environmental degradation
The whole world is a gas chamber
For the social war, perhaps ukaz
Or a false developments
When the real pass for false
Each party against each party
Each organization against each organization
And in the same ideology
And in the same religion
No possibility to understand
No possibility of agreeing
Each against each, each against each
That capitalism destroys any connection
One last great massacre and the last word!
So the Liberal Fascism is alive and well
Who conditions us, shapes us cretins and morons
With its police, its army, its radio, its television
Precisely to prevent a revolution
The revolution of the revolution
Against all ideologies
Who for life are crap
Against all religions
Who for a lifetime, are abominations
Where to begin
Otherwise, in his head with the mop, sweep
Our lives have always been allowed
Capital keeps us on leash
We are slaves
As punishment, we are locked in cellars
There are more than outbidding
No more freedom, while in the deadly
Yet it is true that insecurity
Everywhere the police, the army everywhere
But by propaganda, people are brainwashed!
And no one can escape this lobotomisation
This is propaganda of the reaction
Right, left, Tartempion
And here now
This will happen in China, it is depressing
Industrial production by cloning
Dogs, horses, mostly cows
To destroy stupidity, fast ax
Soon a mill, cloning a year one million cows
Death to the inhumanity that angers
And inevitably, overcrowding is synonymous with reaction
When all learning is submission!
Patrice Faubert (2015) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat told the guest on "hiway.fr"
Patrice Faubert