Désengrammation, l'éloge de la suite
Patrice Faubert | 06.10.2015 06:37 | Culture | World
Lundi 6 août 1945
Il est 8 heures 15 à ( île large ) Hiroshima
Dans le ciel, des B29 ( le Boeing ) , c'est habituel, voilà
Des gens vaquent à leurs occupations
Sans trop se poser de questions
Mais le pouvoir américain veut expérimenter sa bombe
Avec l'atome, d'Hiroshima, faire une tombe
De fait, le Japon était déjà vaincu militairement
Et allait abdiquer, une question de temps
Mais pour utiliser de nouvelles armes
Toujours de beaux alibis pour faire couler les larmes
Et donc, tout à coup
En un instant, 70.000 victimes, c'est beaucoup
Et 210.000 victimes en tout
Un champignon de douze kilomètres de haut
La bêtise militaire c'est beau
Avec la complicité de la science
Une recherche scientifique en pleine démence
Parmi les décès, 22 pour cent en pleine adolescence
Des gens carbonisés, volatilisés, brûlés, choqués
Une température de 6000 degrés
Comme celle du soleil, en vérité !
Il faudrait
Détruire toutes les armes
Voilà qui aurait du charme
Il faudrait
Rééduquer tous les militaires
Rééduquer tous les sanguinaires
Il faudrait
Une usine à détruire
Tout ce qui sert à détruire
Du simple fusil de chasse
A tous les avions de chasse
Et la liste serait si longue
Que longtemps, il faudrait attendre le gong
Il n'y a plus rien à apprendre
Il s'agit maintenant de désapprendre
L'idéologie, la religion, l'économie
La trilogie de la tyrannie
Tout ce qui produit de la guerre, du profit
C'est comme l'Agence nationale pour l'emploi
ANPE, ce Pôle emploi
Cela jette comme un froid
En France ou dans le monde
Moins d'emplois, nouvelle sonde
De plus en plus de robots
Il n'y a plus aucun boulot
Voilà la seule vérité
Si évidente, qu'elle reste cachée
Les gens ne veulent pas vraiment travailler
Ou simplement parce qu'ils sont conditionnés et engrammés
Femmes et hommes veulent de l'argent pour vivre, manger
Et comme il n'y aura plus de travail
Il faudra bien trouver un autre éventail !
C'est un peu comme une vérité
Qui à force de se cacher
Finit par enfin se révéler
Comme pour feu ( 1920 -1965 ) Mehdi Ben Barka
Qui le vendredi 29 octobre 1965, c'est certain, au moins cela
A 12h15, se fit enlever
Pour être séquestré puis étranglé
L'hypothèse la plus probable
Sans doute la plus défendable
Sur l'ordre de l'ordure psychopathe
Le roi du Maroc, feu ( 1929 - 1999 ) Hassan deux
De 1961 à 1999, tyran, dictateur, ce fat
Les torturés, les assassinés, le savaient, eux
Tout fut organisé par Miloud Tounzi
Services secrets, truands, rien d'interdit
L'ancien nazi français ( mort en 1972 ) Georges Boucheseiche
Fut donc l'étrangleur qui jamais ne sèche
Policiers, truands français et marocains
Avec peut-être la complicité des américains
Sa tête ramenée au Maroc
Monarchie dure comme du roc
Prison PF3, prison abjecte, prison secrète
Prisonniers politiques que des matons maltraitent
Cellules de 2 mètres sur 3, 600 disparus, tout oublié
Un charnier de chaux vive, une ruine gardée
Puis tout fut rénové et des oliviers plantés
Feu Ben Barka n'était cependant qu'un réformateur
Il en faut peu pour faire peur !
Tout se recoupe toujours
Les tyrannies dans une même cour
La recherche de la dominance
Accouche toutes les sortes de répugnance
En ce domaine
Il y a de multiples thèmes
Et je ne mets pas tout dans le même panier
Car il n'y a en fait qu'un seul panier
Donc, tout peut s'y retrouver
Donc, tout peut s'y compléter
Il y faut beaucoup de multiples complicités
De près ou de loin, tout y participe
Le système est son anticipe !
Il y a donc
Une domestication engrammation des mentalités
Où toutes les pensées et actions sont automatisées
A propos des automatismes
A propos des déterminismes
Il faut aller sur le site internet d'une " éloge de la suite "
Voir, revoir, écouter, réécouter, feu Henri Laborit, si émérite
Des vidéos " Itinéraires " de la biologie des comportements
Comme quoi, au plus profond, tout s'apprend
Même les gènes au service de l'environnement
Et non l'environnement au service des gènes
Cela devrait être vu et entendu
Dès l'école, pour enfin un autre vécu
Pour mettre à terre toutes les hiérarchies
Semer un petit vent d'anarchie !
Il y a de cela plus de 25 ans
Sur une courte unité de temps
J'avais, dans un centre de formation
Avec la biologie des comportements, fait de l'agitation
Mais qui voudra le croire ?
J'avais lu et relu, Laborit, pour le boire
Je fus en fait un professeur au noir
Il m'arrivait de fumer plusieurs joints le soir
Parfois, dans la journée, avec mes élèves
Contre la séparation, quand quelqu'un s'élève
Avec des futurs éducateurs sportifs
Avec des futures éducatrices sportives
Qui ne songeaient qu'à obtenir un diplôme
Et je m'en fus, étant au-delà de cette aumône !
C'est ainsi la société des papiers
Des parchemins et des actes notariés
Il faut pouvoir prouver son identité
Il faut défendre la propriété
Ma femme, mon mari, mes enfants, mes frites
Le monde entier coiffé des mêmes rites
Le langage de la propriété
La propriété du langage
Pour les hommes, femmes, enfants
Voilà nos bagages si peu plaisants
Voilà bien notre apprentissage toujours guerroyant
De rien
L'on ne peut faire son deuil
Le capital en délimite le seuil
Un corps humain
Met de 2 à 5 ans pour se décomposer
Pour un deuil, c'est quelques jours en congé
Temps de travail, temps d'inhumanité
Dans ce temps, il est impossible de bien se restructurer !
La société est comme un mur de Berlin
Mur bien plus subtil et bien plus malin
Mur qui traversait Berlin, 45 km de long
Mur qui entourait Berlin, c'était 115 km
3m50 de haut, 1 m dans le sol
Mais en vérité, partout la société est folle
Un mur peut n'être plus, devenir invisible
Mais dans nos têtes, il est toujours visible
J'en suis l'ignorant, j'en suis un médium
De tous nos charniers en summum
Car la religion est un mur
Car l'idéologie est un mur
Car l'idée est un mur
Car la croyance est un mur
Car la politique est un mur
Voilà les vrais murs à abattre
Dont nos peurs ne veulent débattre
De nos fausses communications
De nos vraies aliénations
Je suis allé à Berlin-Ouest en 1973
En auto-stop, regarder ce mur, mais tout mur
De Berlin et du monde, pour sûr
Est avant tout dans nos têtes
L'apprentissage humain actuel est si bête !
Notre monde de haine
Notre monde de peine
Notre monde est une prison
En prison, chez soi, ailleurs, c'est sa raison
La haine contre ceci ou cela
Comme la haine antisémite, toujours là
La haine parfois talentueuse de feu ( 1903 - 1972 ) Lucien Rebatet
Antisémite, écrivain, journaliste, à qui, feu Maurras plaît
Et l'inévitable culte du chef
Du pamphlétaire fasciste, en bref
Certes, il y a tant de décombres
Qui à la vérité font de l'ombre
Comme le fascisme, le stalinisme, le libéralisme, si sombres
C'est-à-dire les multiples visages du capitalisme
Il nous faut enfin apprendre autre chose
Et de toute ignominie ne plus prendre la pose !
Patrice Faubert ( 2015 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
Monday, August 6, 1945
It is to 8:15 (br island) Hiroshima
In the sky, the B29 (Boeing) is usual, this
People go about their business
Without asking too many questions
But the US wants to try his bomb
With the atom, Hiroshima, make a grave
In fact, Japan was already defeated militarily
And would abdicate a matter of time
But to use new weapons
Always beautiful alibis for the tears
And so, suddenly
In an instant, 70,000 victims is much
And while 210,000 victims
A fungus twelve kilometers high
The military stupidity is beautiful
With the complicity of science
Scientific research in full dementia
Among the deaths, 22 percent in mid-teens
People charred, vaporized, burned, shocked
A temperature of 6000 degrees
Like the sun, indeed!
It should
Destroy all weapons
That would charm
It should
Reeducate all military
Reeducate all bloodthirsty
It should
A factory to destroy
Anything that serves to destroy
From simple shotgun
To all the fighters
And the list is so long
What a long time it would take the gong
There is nothing more to learn
It is now unlearn
The ideology, religion, economy
The trilogy of tyranny
Anything that produces war, profit
It's like the National Employment Agency
ANPE, the employment center
This casts as a cold
In France or in the world
Fewer jobs, new probe
Increasingly robots
There is no longer any job
That is the only truth
So obvious, it remains hidden
People do not really want to work
Or simply because they are conditioned and engrams
Women and men want money to live, eat
And as there will be more work
We will have to find another fan!
It's like a truth
Who by dint of hiding
Finally, finally be
As fire (1920 -1965) Mehdi Ben Barka
Who Friday, October 29, 1965, for sure, at least that
At 12:15, became remove
To be kidnapped and strangled
The most likely hypothesis
Without doubt the most defensible
On the order of the psychopath junk
The King of Morocco, fire (1929 - 1999) both Hassan
From 1961 to 1999, tyrant, dictator, this fat
The tortured, murdered, knew, them
Everything was organized by Miloud Tounzi
Secret service thugs, nothing prohibits
The French former Nazi (died 1972) Georges Boucheseiche
So was the strangler that never dry
Police, French and Moroccan thugs
With US complicity maybe
Her head returned to Morocco
Monarchy hard as rock
Prison PF3, abject prison, secret prison
Political prisoners as prison guards mistreat
Cell 2 meters by 3, 600 missing, forgotten
A mass grave of quicklime, a guarded ruin
Then everything was renovated and olive trees planted
Fire Ben Barka was however a reformer
It does not take much to scare!
Everything always cuts
Tyrannies in the same court
The quest for dominance
Gives birth every kind of reluctance
In this area
There are multiple themes
And I do not put everything in one basket
For there is actually only one basket
So anything can navigate
So anything can complete it
It takes a lot of multiple complicities
From near and far, everything is involved
The system anticipates her!
So there is
Engrammation domestication of mentalities
Where all thoughts and actions are automated
About automation
About determinism
We must go on the website of "praise the more"
See, review, listen, listen, the late Henri Laborit if Emeritus
Videos "routes" of the biology of behavior
Like what, deep down, everything can be learned
Even the genes in the service of the environment
And not the environment of genes Service
This should be seen and heard
From school, to finally lived another
To take down all the hierarchies
Sow a little anarchy wind!
There are more than 25 years that
Over a short time unit
I was in a training center
With the biology of behavior, is agitation
But who will believe it?
I read and reread, Laborit, to drink
I was actually a professor in black
Sometimes I smoke several joints at night
Sometimes during the day with my students
Against separation when someone rises
With future sports educators
With future sports educators
Who thought only to graduate
And I was, being beyond this alms!
Thus the company papers
Scrolls and deeds
We must be able to prove their identity
We must defend property
My wife, my husband, my children, my fries
The world wearing the same rites
The ownership of language
The property Language
For men, women, children
That our luggage so little pleasant
That's still well our learning warring
You're welcome
One can not mourn
The capital defines the threshold
A human body
Met 2 to 5 years to decompose
For bereavement is a few days off
Working time, time of inhumanity
In that time, it is impossible to restructure it!
The company is like a Berlin Wall
Much more subtle and much more malignant Wall
Berlin Wall crossing, 45 km long
Wall that surrounded Berlin, it was 115 km
3m50 high, 1m in the ground
But in truth, all society is crazy
A wall may no longer become invisible
But in our heads, it is always visible
I am ignorant, I am a medium
Of all our ultimate in mass graves
For religion is a wall
Because ideology is a wall
Because the idea is a wall
For belief is a wall
Because politics is a wall
These are real walls to cut down
Which do not want to discuss our fears
These false communications
Our true alienations
I went to West Berlin in 1973
Hitchhiking, watching the wall, but the wall
Berlin and the world, for sure
Above all in our heads
The current human learning is so stupid!
Our world of hate
Our world penalty
Our world is a prison
In prison, at home, moreover, it is his due
Hatred against this or that
As the anti-Semitic hatred, always there
The talented sometimes hate fire (1903 - 1972) Lucien Rebatet
Antisemitic, writer, journalist, who, like Maurras fire
And the inevitable cult leader
Fascist pamphleteer in brief
Certainly, there is so much rubble
Who indeed can shade
As fascism, Stalinism, liberalism, so dark
That is to say, the many faces of capitalism
We must finally learn something
And any shame not to pose!
Patrice Faubert (2015) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat told the guest on "hiway.fr"
Il est 8 heures 15 à ( île large ) Hiroshima
Dans le ciel, des B29 ( le Boeing ) , c'est habituel, voilà
Des gens vaquent à leurs occupations
Sans trop se poser de questions
Mais le pouvoir américain veut expérimenter sa bombe
Avec l'atome, d'Hiroshima, faire une tombe
De fait, le Japon était déjà vaincu militairement
Et allait abdiquer, une question de temps
Mais pour utiliser de nouvelles armes
Toujours de beaux alibis pour faire couler les larmes
Et donc, tout à coup
En un instant, 70.000 victimes, c'est beaucoup
Et 210.000 victimes en tout
Un champignon de douze kilomètres de haut
La bêtise militaire c'est beau
Avec la complicité de la science
Une recherche scientifique en pleine démence
Parmi les décès, 22 pour cent en pleine adolescence
Des gens carbonisés, volatilisés, brûlés, choqués
Une température de 6000 degrés
Comme celle du soleil, en vérité !
Il faudrait
Détruire toutes les armes
Voilà qui aurait du charme
Il faudrait
Rééduquer tous les militaires
Rééduquer tous les sanguinaires
Il faudrait
Une usine à détruire
Tout ce qui sert à détruire
Du simple fusil de chasse
A tous les avions de chasse
Et la liste serait si longue
Que longtemps, il faudrait attendre le gong
Il n'y a plus rien à apprendre
Il s'agit maintenant de désapprendre
L'idéologie, la religion, l'économie
La trilogie de la tyrannie
Tout ce qui produit de la guerre, du profit
C'est comme l'Agence nationale pour l'emploi
ANPE, ce Pôle emploi
Cela jette comme un froid
En France ou dans le monde
Moins d'emplois, nouvelle sonde
De plus en plus de robots
Il n'y a plus aucun boulot
Voilà la seule vérité
Si évidente, qu'elle reste cachée
Les gens ne veulent pas vraiment travailler
Ou simplement parce qu'ils sont conditionnés et engrammés
Femmes et hommes veulent de l'argent pour vivre, manger
Et comme il n'y aura plus de travail
Il faudra bien trouver un autre éventail !
C'est un peu comme une vérité
Qui à force de se cacher
Finit par enfin se révéler
Comme pour feu ( 1920 -1965 ) Mehdi Ben Barka
Qui le vendredi 29 octobre 1965, c'est certain, au moins cela
A 12h15, se fit enlever
Pour être séquestré puis étranglé
L'hypothèse la plus probable
Sans doute la plus défendable
Sur l'ordre de l'ordure psychopathe
Le roi du Maroc, feu ( 1929 - 1999 ) Hassan deux
De 1961 à 1999, tyran, dictateur, ce fat
Les torturés, les assassinés, le savaient, eux
Tout fut organisé par Miloud Tounzi
Services secrets, truands, rien d'interdit
L'ancien nazi français ( mort en 1972 ) Georges Boucheseiche
Fut donc l'étrangleur qui jamais ne sèche
Policiers, truands français et marocains
Avec peut-être la complicité des américains
Sa tête ramenée au Maroc
Monarchie dure comme du roc
Prison PF3, prison abjecte, prison secrète
Prisonniers politiques que des matons maltraitent
Cellules de 2 mètres sur 3, 600 disparus, tout oublié
Un charnier de chaux vive, une ruine gardée
Puis tout fut rénové et des oliviers plantés
Feu Ben Barka n'était cependant qu'un réformateur
Il en faut peu pour faire peur !
Tout se recoupe toujours
Les tyrannies dans une même cour
La recherche de la dominance
Accouche toutes les sortes de répugnance
En ce domaine
Il y a de multiples thèmes
Et je ne mets pas tout dans le même panier
Car il n'y a en fait qu'un seul panier
Donc, tout peut s'y retrouver
Donc, tout peut s'y compléter
Il y faut beaucoup de multiples complicités
De près ou de loin, tout y participe
Le système est son anticipe !
Il y a donc
Une domestication engrammation des mentalités
Où toutes les pensées et actions sont automatisées
A propos des automatismes
A propos des déterminismes
Il faut aller sur le site internet d'une " éloge de la suite "
Voir, revoir, écouter, réécouter, feu Henri Laborit, si émérite
Des vidéos " Itinéraires " de la biologie des comportements
Comme quoi, au plus profond, tout s'apprend
Même les gènes au service de l'environnement
Et non l'environnement au service des gènes
Cela devrait être vu et entendu
Dès l'école, pour enfin un autre vécu
Pour mettre à terre toutes les hiérarchies
Semer un petit vent d'anarchie !
Il y a de cela plus de 25 ans
Sur une courte unité de temps
J'avais, dans un centre de formation
Avec la biologie des comportements, fait de l'agitation
Mais qui voudra le croire ?
J'avais lu et relu, Laborit, pour le boire
Je fus en fait un professeur au noir
Il m'arrivait de fumer plusieurs joints le soir
Parfois, dans la journée, avec mes élèves
Contre la séparation, quand quelqu'un s'élève
Avec des futurs éducateurs sportifs
Avec des futures éducatrices sportives
Qui ne songeaient qu'à obtenir un diplôme
Et je m'en fus, étant au-delà de cette aumône !
C'est ainsi la société des papiers
Des parchemins et des actes notariés
Il faut pouvoir prouver son identité
Il faut défendre la propriété
Ma femme, mon mari, mes enfants, mes frites
Le monde entier coiffé des mêmes rites
Le langage de la propriété
La propriété du langage
Pour les hommes, femmes, enfants
Voilà nos bagages si peu plaisants
Voilà bien notre apprentissage toujours guerroyant
De rien
L'on ne peut faire son deuil
Le capital en délimite le seuil
Un corps humain
Met de 2 à 5 ans pour se décomposer
Pour un deuil, c'est quelques jours en congé
Temps de travail, temps d'inhumanité
Dans ce temps, il est impossible de bien se restructurer !
La société est comme un mur de Berlin
Mur bien plus subtil et bien plus malin
Mur qui traversait Berlin, 45 km de long
Mur qui entourait Berlin, c'était 115 km
3m50 de haut, 1 m dans le sol
Mais en vérité, partout la société est folle
Un mur peut n'être plus, devenir invisible
Mais dans nos têtes, il est toujours visible
J'en suis l'ignorant, j'en suis un médium
De tous nos charniers en summum
Car la religion est un mur
Car l'idéologie est un mur
Car l'idée est un mur
Car la croyance est un mur
Car la politique est un mur
Voilà les vrais murs à abattre
Dont nos peurs ne veulent débattre
De nos fausses communications
De nos vraies aliénations
Je suis allé à Berlin-Ouest en 1973
En auto-stop, regarder ce mur, mais tout mur
De Berlin et du monde, pour sûr
Est avant tout dans nos têtes
L'apprentissage humain actuel est si bête !
Notre monde de haine
Notre monde de peine
Notre monde est une prison
En prison, chez soi, ailleurs, c'est sa raison
La haine contre ceci ou cela
Comme la haine antisémite, toujours là
La haine parfois talentueuse de feu ( 1903 - 1972 ) Lucien Rebatet
Antisémite, écrivain, journaliste, à qui, feu Maurras plaît
Et l'inévitable culte du chef
Du pamphlétaire fasciste, en bref
Certes, il y a tant de décombres
Qui à la vérité font de l'ombre
Comme le fascisme, le stalinisme, le libéralisme, si sombres
C'est-à-dire les multiples visages du capitalisme
Il nous faut enfin apprendre autre chose
Et de toute ignominie ne plus prendre la pose !
Patrice Faubert ( 2015 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
Monday, August 6, 1945
It is to 8:15 (br island) Hiroshima
In the sky, the B29 (Boeing) is usual, this
People go about their business
Without asking too many questions
But the US wants to try his bomb
With the atom, Hiroshima, make a grave
In fact, Japan was already defeated militarily
And would abdicate a matter of time
But to use new weapons
Always beautiful alibis for the tears
And so, suddenly
In an instant, 70,000 victims is much
And while 210,000 victims
A fungus twelve kilometers high
The military stupidity is beautiful
With the complicity of science
Scientific research in full dementia
Among the deaths, 22 percent in mid-teens
People charred, vaporized, burned, shocked
A temperature of 6000 degrees
Like the sun, indeed!
It should
Destroy all weapons
That would charm
It should
Reeducate all military
Reeducate all bloodthirsty
It should
A factory to destroy
Anything that serves to destroy
From simple shotgun
To all the fighters
And the list is so long
What a long time it would take the gong
There is nothing more to learn
It is now unlearn
The ideology, religion, economy
The trilogy of tyranny
Anything that produces war, profit
It's like the National Employment Agency
ANPE, the employment center
This casts as a cold
In France or in the world
Fewer jobs, new probe
Increasingly robots
There is no longer any job
That is the only truth
So obvious, it remains hidden
People do not really want to work
Or simply because they are conditioned and engrams
Women and men want money to live, eat
And as there will be more work
We will have to find another fan!
It's like a truth
Who by dint of hiding
Finally, finally be
As fire (1920 -1965) Mehdi Ben Barka
Who Friday, October 29, 1965, for sure, at least that
At 12:15, became remove
To be kidnapped and strangled
The most likely hypothesis
Without doubt the most defensible
On the order of the psychopath junk
The King of Morocco, fire (1929 - 1999) both Hassan
From 1961 to 1999, tyrant, dictator, this fat
The tortured, murdered, knew, them
Everything was organized by Miloud Tounzi
Secret service thugs, nothing prohibits
The French former Nazi (died 1972) Georges Boucheseiche
So was the strangler that never dry
Police, French and Moroccan thugs
With US complicity maybe
Her head returned to Morocco
Monarchy hard as rock
Prison PF3, abject prison, secret prison
Political prisoners as prison guards mistreat
Cell 2 meters by 3, 600 missing, forgotten
A mass grave of quicklime, a guarded ruin
Then everything was renovated and olive trees planted
Fire Ben Barka was however a reformer
It does not take much to scare!
Everything always cuts
Tyrannies in the same court
The quest for dominance
Gives birth every kind of reluctance
In this area
There are multiple themes
And I do not put everything in one basket
For there is actually only one basket
So anything can navigate
So anything can complete it
It takes a lot of multiple complicities
From near and far, everything is involved
The system anticipates her!
So there is
Engrammation domestication of mentalities
Where all thoughts and actions are automated
About automation
About determinism
We must go on the website of "praise the more"
See, review, listen, listen, the late Henri Laborit if Emeritus
Videos "routes" of the biology of behavior
Like what, deep down, everything can be learned
Even the genes in the service of the environment
And not the environment of genes Service
This should be seen and heard
From school, to finally lived another
To take down all the hierarchies
Sow a little anarchy wind!
There are more than 25 years that
Over a short time unit
I was in a training center
With the biology of behavior, is agitation
But who will believe it?
I read and reread, Laborit, to drink
I was actually a professor in black
Sometimes I smoke several joints at night
Sometimes during the day with my students
Against separation when someone rises
With future sports educators
With future sports educators
Who thought only to graduate
And I was, being beyond this alms!
Thus the company papers
Scrolls and deeds
We must be able to prove their identity
We must defend property
My wife, my husband, my children, my fries
The world wearing the same rites
The ownership of language
The property Language
For men, women, children
That our luggage so little pleasant
That's still well our learning warring
You're welcome
One can not mourn
The capital defines the threshold
A human body
Met 2 to 5 years to decompose
For bereavement is a few days off
Working time, time of inhumanity
In that time, it is impossible to restructure it!
The company is like a Berlin Wall
Much more subtle and much more malignant Wall
Berlin Wall crossing, 45 km long
Wall that surrounded Berlin, it was 115 km
3m50 high, 1m in the ground
But in truth, all society is crazy
A wall may no longer become invisible
But in our heads, it is always visible
I am ignorant, I am a medium
Of all our ultimate in mass graves
For religion is a wall
Because ideology is a wall
Because the idea is a wall
For belief is a wall
Because politics is a wall
These are real walls to cut down
Which do not want to discuss our fears
These false communications
Our true alienations
I went to West Berlin in 1973
Hitchhiking, watching the wall, but the wall
Berlin and the world, for sure
Above all in our heads
The current human learning is so stupid!
Our world of hate
Our world penalty
Our world is a prison
In prison, at home, moreover, it is his due
Hatred against this or that
As the anti-Semitic hatred, always there
The talented sometimes hate fire (1903 - 1972) Lucien Rebatet
Antisemitic, writer, journalist, who, like Maurras fire
And the inevitable cult leader
Fascist pamphleteer in brief
Certainly, there is so much rubble
Who indeed can shade
As fascism, Stalinism, liberalism, so dark
That is to say, the many faces of capitalism
We must finally learn something
And any shame not to pose!
Patrice Faubert (2015) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat told the guest on "hiway.fr"
Patrice Faubert