Paraphysique de l'argent
Patrice Faubert | 03.12.2014 11:57 | Culture | World
Avec la paraffine qui conserve tout
1908 serait la date de l'origine du SIDA
Bien avant 1950/1960/1982, voilà
Car du colonialisme c'est la roue
Français, Belge, et c'est Kinshasa
Pour une pandémie mondiale sur les bras
De l'animal à l'homme, cette zoonose
Aucune préférence sexuelle, le virus ose
Et toutes les infections opportunistes
De ce virus si colonialiste
D'abord la maladie du sommeil
Et la syphilis qui toujours veille
C'est encore de l'histoire coloniale
Cameroun, Congo, l'on y déposait ses malles
Et puis plus tard, au total
40 millions de mortes et de morts
Et des millions d'infectés, comme un sort
La pauvreté toujours en premier
Pour la richesse, des cobayes à utiliser
D'autres pandémies sont à venir
Du capital c'est le seul avenir
Les pauvres payent plus
Les riches payent moins
Cela coûte cher d'être pauvre
Le pas cher coûte plus
Les riches payent moins
Le cher coûte moins
Pour toutes choses
En toutes choses
Pandémie de l'argent
L'argent de la pandémie
Aux pauvres
On jette des cailloux
Par la misère, on les tue
Aux riches
On lèche le cul
On se jette à leurs cous
Le communisme pour les riches
Le capitalisme pour les pauvres
Même les tatouages à la mode
De nouveaux rites, anciens, nouveaux codes
Mais tout est départi de son contexte
Le capital en fait un autre texte
Car après tout, tout s'achète
Pour le commerce, c'est toujours la fête
Ainsi, un français sur dix, serait tatoué
Plus dans la richesse que dans la pauvreté
Cela n'est pas donné, il faut payer !
C'est donc l'argent qui nous danse
L'argent de toutes les confidences
L'argent qui nous met en transe
C'est l'argent qui nous organise
C'est l'argent qui nous divise
Si nous allions en toute nudité
Si c'était toujours l'été
Les hiérarchies ne seraient plus les mêmes
La beauté plastique serait le principal thème
La nudité ne peut rien baratiner
L'argent ne peut rien en dissimuler
Mais l'argent a tout piégé
Et dans tout l'alphabet a su s'infiltrer !
De l'argent
Pour bien manger
De l'argent
Pour bien se vêtir
De l'argent pour bien dormir
De l'argent pour bien copuler
De l'argent
Pour plaire aux dames
De l'argent
Pour acheter de la came
L'argent du pouvoir
Pouvoir de l'argent
Avec l'argent tu es tout
Sans argent tu n'es rien
Ainsi
Les riches avec les riches
Les pauvres avec les pauvres
Les patrons avec les patronnes
Les barons avec les baronnes
Les ouvriers avec les ouvrières
Les caissiers avec les caissières
Selon sa bourse
La vie fait ses courses
Il faut être dans la ligne
Rester à sa place sur le ring
Ainsi
Le militantisme stade suprême de l'aliénation
Ainsi
La religion stade suprême de l'aliénation
Ainsi
L'idéologie stade suprême de l'aliénation
Ainsi
Le couple stade suprême de l'aliénation
Ainsi
La croyance stade suprême de l'aliénation
Ainsi
Avoir des enfants ou des animaux
Stade suprême de l'aliénation
Finalement
Rien et tout est politique
Surtout la vérité qui est toujours politique
La vérité
Dérange toutes les organisations
Tous les partis, toutes les affiliations
Personne n'en veut vraiment, elle est la révolution !
L'argent fait et défait les couples
L'argent est dogmatique, pas souple
Nos amours c'est l'argent
Nos amitiés c'est l'argent
Nos vies c'est l'argent
A 20 ans, à 40 ans, ou comme mézigue, à bientôt 64 ans
Ce que nous mangeons c'est l'argent
Ce que nous portons c'est l'argent
Ce que nous pensons c'est l'argent
Comme tous les bruits artificiels
Presque plus aucun bruit naturel
L'argent du bruit, bruit de l'argent
Tu fais ceci
Cela vaut tant
Tu fais cela
Cela vaut tant
Dis-moi combien d'argent tu as
Je te dirais qui tu rencontreras !
De l'argent
Chaque être humain est l'impétrant
L'argent est notre dieu omnipotent
L'argent notre sang notre omniprésent
Argent de la vie, vie de l'argent
L'argent vit nos vies
L'argent fausse nos envies
Riches ou pauvres
L'argent nous possède
Riches ou pauvres
L'argent nous malmène
Avec l'argent, tu vaux tant
Sans argent, tu ne vaux rien
La société spectaculaire marchande techno-industrielle
Est une centrale d'achats, bien réelle
Pour moi, pour toi, pour ils, pour elles
Tout y a un prix
Pour chaque mâle et chaque femelle
Prix pas affiché, par hypocrisie
Où tout est faussement rebelle !
Si tu gagnes tant par mois
De ton salaire, tu n'as que le choix
Si tu es chômeur, précaire, sans emploi
Tu n'auras que les restes, c'est la loi
Voici de l'écriture automatique
Surannée, mais caustique et forcément cynique
Il y aurait pourtant de quoi se révolter
Toutes les députations, vouloir les annihiler
Toutes les crapules politiciennes, vouloir les cracher
Mais non, et en vérité
Vous rêvez de les remplacer !
Et ce que nous appelons la sécurité
Psychologiquement, matériellement, économiquement
Sexuellement, affectivement, socialement
Est la quintessence de la totale insécurité
Là où il n'y a aucune liberté
Il ne peut y avoir la moindre sécurité
Là où règne la pensée séparée
Il ne peut y avoir la moindre sécurité
Telle est notre société
Telle est notre vérité !
Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
With the paraffin which preserves all
1908 would be the date of the origination of the AIDS
Well before 1950 /1960/1982, here
Bus of colonialism it is the wheel
French, Belgian, and it is Kinshasa
For a worldwide pandemic on the arms
Animal with the man, this zoonosis
No sexual preference, the virus dares
And all opportunist infections
This virus if colonialist
Initially the disease of the sleep
And the syphilis which always day before
It is still of the colonial history
Cameroon, Congo, his trunks there were deposited
And then later, on the whole
40 million died and deaths
And of the million infected, as a fate
Poverty always in first
For the wealth, guinea-pigs to be used
Other pandemias are to be come
Capital it is the only future
The poor pay more
The rich person pay less
That is expensive to be poor
The expensive step costs more
The rich person pay less
Expensive costs less
For all things
In all things
Pandemia of the money
Money of pandemia
With the poor
Stones are thrown
By misery, they are killed
With the rich person
The bottom is licked
One throws oneself to their necks
Communism for the rich person
Capitalism for the poor
Even tattooings with the mode
New rites, old, new codes
But all is separated of its context
The capital makes another text of it
Because after all, very buys itself
For the trade, it is always the festival
Thus, French on ten, would be tattooed
More in the wealth that in poverty
That is not given, it is necessary to pay!
It is thus the money which dances us
Money of all the confidences
The money which puts to us in fright
It is the money which organizes us
It is the money which divides us
If we went in all nudity
If it were always the summer
The hierarchies would not be any more the same ones
The plastic beauty would be the main theme
Nudity can nothing flannel
The money can nothing dissimulate some
But the money very trapped
And in all the alphabet knew to infiltrate!
Money
For eating well
Money
For good to dress itself
Money for sleeping well
Money for copulating well
Money
To like the ladies
Money
To buy cam
Money of the power
To be able of the money
With the money you are all
Without money you are nothing
Thus
Rich person with the rich person
The poor with the poor
Owners with the owners
Barons with the baronesses
Blue-collar workers with the workers
Cash clerks with the cashiers
According to its stock market
The life makes its races
It is necessary to be in the line
To remain in its place on the boxing ring
Thus
The supreme militancy stage of alienation
Thus
The supreme religion stage of alienation
Thus
The supreme ideology stage of alienation
Thus
The supreme couple stage of alienation
Thus
The supreme belief stage of alienation
Thus
To have children or animals
Supreme stage of alienation
Finally
Nothing and all is political
Especially the truth which is always political
The truth
Disturb all the organizations
All parties, all affiliations
Nobody really wants some, it is the revolution!
The money makes and demolishes the couples
The money is dogmatic, not flexible
Our loves it is the money
Our friendships it is the money
Our lives it is the money
At 20 years, at 40 years, or like mézigue, so long 64 years
What we eat it is the money
What we carry it is the money
What we think it is the money
Like all the artificial noises
Almost more no natural noise
Money of the noise, noise of the money
You do this
That is worth so much
You do that
That is worth so much
Tell me how much money you have
I would tell you who you will meet!
Money
Each human being is the recipient
The money is our omnipotent god
Money our blood our omnipresent
Money of the life, life of the money
The money lives our lives
The money distorts our desires
Rich person or the poor
The money has us
Rich person or the poor
The money abuses us
With the money, you are worth so much
Without money, you are not worth anything
The techno-industrial commercial spectacular company
Is a purchasing group, quite real
For me, you, they, them
All has a price there
For each male and each female
Not displayed price, by hypocrisy
Where all is wrongfully rebellious!
If you gain so much per month
Of your wages, you have only the choice
If you are unemployed, precarious, without employment
You will have only the remains, it is the law
Here of the automatic writing
Out of date, but caustic and inevitably cynical
There would be what to however revolt
All delegations, to want to destroy them
All politicking villains, to want to spit them
But not, and in truth
You dream to replace them!
And what we call the security
Psychologically, materially, economically
Sexually, emotionally, socially
Is the quintessence of the total insecurity
Where there is no freedom
There cannot be the least security
Where reign the separate thought
There cannot be the least security
Such is our company
Such is our truth!
Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysician ( http://patrice.faubert.over-blog.com/) Stalemate says the guest on “hiway.fr”
1908 serait la date de l'origine du SIDA
Bien avant 1950/1960/1982, voilà
Car du colonialisme c'est la roue
Français, Belge, et c'est Kinshasa
Pour une pandémie mondiale sur les bras
De l'animal à l'homme, cette zoonose
Aucune préférence sexuelle, le virus ose
Et toutes les infections opportunistes
De ce virus si colonialiste
D'abord la maladie du sommeil
Et la syphilis qui toujours veille
C'est encore de l'histoire coloniale
Cameroun, Congo, l'on y déposait ses malles
Et puis plus tard, au total
40 millions de mortes et de morts
Et des millions d'infectés, comme un sort
La pauvreté toujours en premier
Pour la richesse, des cobayes à utiliser
D'autres pandémies sont à venir
Du capital c'est le seul avenir
Les pauvres payent plus
Les riches payent moins
Cela coûte cher d'être pauvre
Le pas cher coûte plus
Les riches payent moins
Le cher coûte moins
Pour toutes choses
En toutes choses
Pandémie de l'argent
L'argent de la pandémie
Aux pauvres
On jette des cailloux
Par la misère, on les tue
Aux riches
On lèche le cul
On se jette à leurs cous
Le communisme pour les riches
Le capitalisme pour les pauvres
Même les tatouages à la mode
De nouveaux rites, anciens, nouveaux codes
Mais tout est départi de son contexte
Le capital en fait un autre texte
Car après tout, tout s'achète
Pour le commerce, c'est toujours la fête
Ainsi, un français sur dix, serait tatoué
Plus dans la richesse que dans la pauvreté
Cela n'est pas donné, il faut payer !
C'est donc l'argent qui nous danse
L'argent de toutes les confidences
L'argent qui nous met en transe
C'est l'argent qui nous organise
C'est l'argent qui nous divise
Si nous allions en toute nudité
Si c'était toujours l'été
Les hiérarchies ne seraient plus les mêmes
La beauté plastique serait le principal thème
La nudité ne peut rien baratiner
L'argent ne peut rien en dissimuler
Mais l'argent a tout piégé
Et dans tout l'alphabet a su s'infiltrer !
De l'argent
Pour bien manger
De l'argent
Pour bien se vêtir
De l'argent pour bien dormir
De l'argent pour bien copuler
De l'argent
Pour plaire aux dames
De l'argent
Pour acheter de la came
L'argent du pouvoir
Pouvoir de l'argent
Avec l'argent tu es tout
Sans argent tu n'es rien
Ainsi
Les riches avec les riches
Les pauvres avec les pauvres
Les patrons avec les patronnes
Les barons avec les baronnes
Les ouvriers avec les ouvrières
Les caissiers avec les caissières
Selon sa bourse
La vie fait ses courses
Il faut être dans la ligne
Rester à sa place sur le ring
Ainsi
Le militantisme stade suprême de l'aliénation
Ainsi
La religion stade suprême de l'aliénation
Ainsi
L'idéologie stade suprême de l'aliénation
Ainsi
Le couple stade suprême de l'aliénation
Ainsi
La croyance stade suprême de l'aliénation
Ainsi
Avoir des enfants ou des animaux
Stade suprême de l'aliénation
Finalement
Rien et tout est politique
Surtout la vérité qui est toujours politique
La vérité
Dérange toutes les organisations
Tous les partis, toutes les affiliations
Personne n'en veut vraiment, elle est la révolution !
L'argent fait et défait les couples
L'argent est dogmatique, pas souple
Nos amours c'est l'argent
Nos amitiés c'est l'argent
Nos vies c'est l'argent
A 20 ans, à 40 ans, ou comme mézigue, à bientôt 64 ans
Ce que nous mangeons c'est l'argent
Ce que nous portons c'est l'argent
Ce que nous pensons c'est l'argent
Comme tous les bruits artificiels
Presque plus aucun bruit naturel
L'argent du bruit, bruit de l'argent
Tu fais ceci
Cela vaut tant
Tu fais cela
Cela vaut tant
Dis-moi combien d'argent tu as
Je te dirais qui tu rencontreras !
De l'argent
Chaque être humain est l'impétrant
L'argent est notre dieu omnipotent
L'argent notre sang notre omniprésent
Argent de la vie, vie de l'argent
L'argent vit nos vies
L'argent fausse nos envies
Riches ou pauvres
L'argent nous possède
Riches ou pauvres
L'argent nous malmène
Avec l'argent, tu vaux tant
Sans argent, tu ne vaux rien
La société spectaculaire marchande techno-industrielle
Est une centrale d'achats, bien réelle
Pour moi, pour toi, pour ils, pour elles
Tout y a un prix
Pour chaque mâle et chaque femelle
Prix pas affiché, par hypocrisie
Où tout est faussement rebelle !
Si tu gagnes tant par mois
De ton salaire, tu n'as que le choix
Si tu es chômeur, précaire, sans emploi
Tu n'auras que les restes, c'est la loi
Voici de l'écriture automatique
Surannée, mais caustique et forcément cynique
Il y aurait pourtant de quoi se révolter
Toutes les députations, vouloir les annihiler
Toutes les crapules politiciennes, vouloir les cracher
Mais non, et en vérité
Vous rêvez de les remplacer !
Et ce que nous appelons la sécurité
Psychologiquement, matériellement, économiquement
Sexuellement, affectivement, socialement
Est la quintessence de la totale insécurité
Là où il n'y a aucune liberté
Il ne peut y avoir la moindre sécurité
Là où règne la pensée séparée
Il ne peut y avoir la moindre sécurité
Telle est notre société
Telle est notre vérité !
Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
With the paraffin which preserves all
1908 would be the date of the origination of the AIDS
Well before 1950 /1960/1982, here
Bus of colonialism it is the wheel
French, Belgian, and it is Kinshasa
For a worldwide pandemic on the arms
Animal with the man, this zoonosis
No sexual preference, the virus dares
And all opportunist infections
This virus if colonialist
Initially the disease of the sleep
And the syphilis which always day before
It is still of the colonial history
Cameroon, Congo, his trunks there were deposited
And then later, on the whole
40 million died and deaths
And of the million infected, as a fate
Poverty always in first
For the wealth, guinea-pigs to be used
Other pandemias are to be come
Capital it is the only future
The poor pay more
The rich person pay less
That is expensive to be poor
The expensive step costs more
The rich person pay less
Expensive costs less
For all things
In all things
Pandemia of the money
Money of pandemia
With the poor
Stones are thrown
By misery, they are killed
With the rich person
The bottom is licked
One throws oneself to their necks
Communism for the rich person
Capitalism for the poor
Even tattooings with the mode
New rites, old, new codes
But all is separated of its context
The capital makes another text of it
Because after all, very buys itself
For the trade, it is always the festival
Thus, French on ten, would be tattooed
More in the wealth that in poverty
That is not given, it is necessary to pay!
It is thus the money which dances us
Money of all the confidences
The money which puts to us in fright
It is the money which organizes us
It is the money which divides us
If we went in all nudity
If it were always the summer
The hierarchies would not be any more the same ones
The plastic beauty would be the main theme
Nudity can nothing flannel
The money can nothing dissimulate some
But the money very trapped
And in all the alphabet knew to infiltrate!
Money
For eating well
Money
For good to dress itself
Money for sleeping well
Money for copulating well
Money
To like the ladies
Money
To buy cam
Money of the power
To be able of the money
With the money you are all
Without money you are nothing
Thus
Rich person with the rich person
The poor with the poor
Owners with the owners
Barons with the baronesses
Blue-collar workers with the workers
Cash clerks with the cashiers
According to its stock market
The life makes its races
It is necessary to be in the line
To remain in its place on the boxing ring
Thus
The supreme militancy stage of alienation
Thus
The supreme religion stage of alienation
Thus
The supreme ideology stage of alienation
Thus
The supreme couple stage of alienation
Thus
The supreme belief stage of alienation
Thus
To have children or animals
Supreme stage of alienation
Finally
Nothing and all is political
Especially the truth which is always political
The truth
Disturb all the organizations
All parties, all affiliations
Nobody really wants some, it is the revolution!
The money makes and demolishes the couples
The money is dogmatic, not flexible
Our loves it is the money
Our friendships it is the money
Our lives it is the money
At 20 years, at 40 years, or like mézigue, so long 64 years
What we eat it is the money
What we carry it is the money
What we think it is the money
Like all the artificial noises
Almost more no natural noise
Money of the noise, noise of the money
You do this
That is worth so much
You do that
That is worth so much
Tell me how much money you have
I would tell you who you will meet!
Money
Each human being is the recipient
The money is our omnipotent god
Money our blood our omnipresent
Money of the life, life of the money
The money lives our lives
The money distorts our desires
Rich person or the poor
The money has us
Rich person or the poor
The money abuses us
With the money, you are worth so much
Without money, you are not worth anything
The techno-industrial commercial spectacular company
Is a purchasing group, quite real
For me, you, they, them
All has a price there
For each male and each female
Not displayed price, by hypocrisy
Where all is wrongfully rebellious!
If you gain so much per month
Of your wages, you have only the choice
If you are unemployed, precarious, without employment
You will have only the remains, it is the law
Here of the automatic writing
Out of date, but caustic and inevitably cynical
There would be what to however revolt
All delegations, to want to destroy them
All politicking villains, to want to spit them
But not, and in truth
You dream to replace them!
And what we call the security
Psychologically, materially, economically
Sexually, emotionally, socially
Is the quintessence of the total insecurity
Where there is no freedom
There cannot be the least security
Where reign the separate thought
There cannot be the least security
Such is our company
Such is our truth!
Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysician ( http://patrice.faubert.over-blog.com/) Stalemate says the guest on “hiway.fr”
Patrice Faubert