Skip to content or view screen version

Hidden Article

This posting has been hidden because it breaches the Indymedia UK (IMC UK) Editorial Guidelines.

IMC UK is an interactive site offering inclusive participation. All postings to the open publishing newswire are the responsibility of the individual authors and not of IMC UK. Although IMC UK volunteers attempt to ensure accuracy of the newswire, they take no responsibility legal or otherwise for the contents of the open publishing site. Mention of external web sites or services is for information purposes only and constitutes neither an endorsement nor a recommendation.

Anosognosie généralisée du capital

Patrice Faubert | 17.10.2014 21:49 | Culture | World

Troc, échange, achat, vente, location, les mouvements du capital...

Une personne, dans le monde
Et ce toutes les dix huit secondes
Meurt de ce qu'induit la maladie alcoolique
Comme une guerre, c'est l'hécatombe
Toujours la misère
Cette bombe thermonucléaire
Comme feu ( 1856-1903 ) Calamity Jane
Aventurière, épouse célibataire, lingère, éclaireuse
Et si elle échappa à la variole
Elle sombra dans l'alcool
Toujours audacieuse, jamais peureuse
A cette époque
Et cela n'avait rien de loufoque
Il fallait au moins cinq mois
Pour en chariot, parcourir 3000 km, en plusieurs fois
Donc, Martha Cannary
Souvent la nuit
Calamity Jane
Souvent le jour
Aussi bonne conteuse
Et parfois emprisonnée car bonne buveuse
Comme beaucoup de gens
De son temps, finalement
Elle reproduisit, des parents
Le même genre de comportement
Mais les films
Sont forcément faussaires
Comme le saloon toujours très sommaire
Un tonneau renversé
Et quelques chaises, cela faisait l'affaire
Et de l'alcool pour s'enivrer
Toujours l'illusion du pouvoir
Qui est le pouvoir de l'illusion
Tout se retrouve toujours
Autres lieux, autres formes, même détresse
C'est chacun et chacune son tour
Sans cesse la misère se dresse !
A toute journée, sa messe
Son hostie, sa kermesse
La vie marchande
Est un parcours du combattant
Trop de monde partout
De quoi devenir folle ou fou
Comme les transports en commun
Il faut jouer du coude, c'est malsain
Trains en retard
Les gens se jettent sous les trains
Des trains et rails qui sont sans entretien
En voiture
Ce sont les embouteillages
Accidents, amendes, suicides, qui mettent en rage
Tout est de la guerre
Il n'y a que de la guerre
L'être humain contre l'être humain
Et tout devient problème, c'est pas malin
Aussi
Chaque temps a sa contre culture
Parodier l'intolérable, l'ordure
Maintenant
C'est le street art
Bansky, Space invaser, Shepard Fairey
Seizer, Zeus, Borf, etc. Cela plaît
Comme Thierry Guetta ( né en 1966 )
LIFE REMOTE CONTROL, Mr Brainwash
Cela est devenu un marché
Le marché de l'art, l'art du marché
Tout y est une marchandise
De la répétition dans les valises
La répétition de l'art
L'art de la répétition
Comme aussi
La stratégie de tension
Tant pratiquée par les fascistes et nazis
Comme l'attentat de l'Oktoberfest
Du 26 septembre 1980, ce que peu de gens savent
13 morts, 211 blessés, dont 68 graves
Gundolf Kohler et autres associés
Et services secrets allemands infiltrés
Dont certains avaient les mêmes idées
Aussi, l'affaire fut étouffée !
Les pauvres sont traités
Comme de la merde
Mais par une sorte de complicité
Ils et elles se laissent traiter comme de la merde
Et avec les nouvelles générations
Qui sont conditionnées dans la soumission
Tout est permis à la domination
Et comme un réveil qui sonne, tôt le matin
Car il faut aller au chagrin
La vie est devenue une humiliation
Comme en prison, et aucune possibilité d'évasion !
Nous nous habituons à l'ignoble
Car les compétitions n'ont rien de noble
Elle font les suicides
Et tous les homicides
Il faut vraiment en vouloir
Pour être dupe de cette foire !
Les mentalités ont finalement peu changées
Mais surtout les technologies et les technicités
Comme une rivière de l'intolérance
Avec d'autres motifs, éternelle saillance
D'incessantes sottes rivalités
Pour l'argent, pour la propriété
Dans un monde surpeuplé
Où tout, de ce fait, est agressivité
Où tout, de ce fait, est médiocrité
Le cinéma, l'art, les comiques
La science au service du tout technologique
Il n'y a plus de peuple, c'est tragique
De plus en plus de crétins et de crétines
En série, le capital les sort de ses usines !
Certes
A la télévision, il y a de bons documentaires
Mais personne ne les regarde vraiment
Pour les comprendre, les regarder n'est pas suffisant
Il faut y avoir déjà réfléchi, soi-même, avant
Et puis la plupart des réactionnaires
Préfèrent regarder les séries locales ou américaines
Ou tout ce qui est de la même veine
Mais surtout
Ne pas trop réfléchir
Des livres subversifs, ne jamais lire
Pour toujours voter, toujours élire
Tous les visages de la domination, cela fait frémir !
Comme le capitalisme, à l'humeur mutine
Qui débuta vraiment avec le colonialisme
Des Caraïbes et de l'Amérique latine
Bien avant ( 1776 ) " La richesse des nations "
De feu ( 1723-1790 ) Adam Smith, ce mythe
Qui fit brûler certains de ses manuscrits, comme un rite
Doctrine de l'intérêt personnel, égoïsme
Qui serait ainsi de l'altruisme
L'ordre naturel de la nature
Comme ordre naturel de l'économie
Mais la loi du marché n'est pas naturelle
C'est de la colonisation, c'est donc une loi socioculturelle
Cette loi du marché
Qui sut coloniser toutes les sociétés
Les physiocrates de l'économie libérale
De nos jours, le fascisme libéral
Une sorte de monarchie naturelle
Circulation des biens, inégalités culturelles
Criminalisation de la pauvreté
Indispensable à l'économie de marché
1518, feu ( 1485-1547 ) Cortès, colon, joueur, assassin
Puis, colonies, pillages, viols, meurtres, sans aucun frein
Pertes, profits, jamais de demain
Et toujours le travail forcé
Par esclavage des peuples colonisés
Puis généralisé par le travail salarié
1750, Liverpool, port de commerce
La course au profit, début de la messe
La loi du chiffre
Le chiffre de la loi
Le capital est une ordure
Le capital est une raclure
Le capital est inhumain
Hier, aujourd'hui, comme demain
Tout capitalisme est totalitaire
Loi du plus fort
Loi qui ne fait que des morts
Mais le capital sait se travestir
Et finalement, c'est encore pire
Troc, échange, faux partage
Le capital et ses nouveaux visages
Plus d'auto-stop mais du covoiturage
Pour le capitalisme un nouvel âge
En fait cela est très ancien
Saut pour les idiots et les crétins
Et chaque année
1, 3 milliards de tonnes de produits alimentaires
Sont sacrifiés dans le monde réactionnaire
Le gâchis de la consommation alimentaire
Et aussi la Suisse
2200 milliards de dollars y sont planqués
Dans des coffres-forts, ce sont des avoirs étrangers
Le capitalisme
C'est aussi ces 650 poilus
Qui furent fusillés pour l'exemple
Par la justice militaire, guerre de 1914/1918
Le capitalisme ne peut-être réformé
A toutes les infamies, le capital sait s'adapter
Car tout y est lié
Aucun épanouissement possible, tout y est échoué
Il faut un monde sans argent
Il faut un monde IMAGINANT !


Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien (  http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "

A person, in the world
And this all ten eight seconds
Dies of what induces the alcoholic disease
Like a war, it is the hecatomb
Always misery
This thermonuclear bomb
Like fire (1856-1903) Calamity Jane
Adventurous, unmarried wife, linen maid, girl guide
And if she escaped variola
It sank in alcohol
Always daring, never timorous
At that time
And that did not have anything mild nutter
It took at least five months
Out of carriage, to traverse 3000 km, in several times
Therefore, Martha Cannary
Often the night
Calamity Jane
Often the day
Also good narrator
And sometimes imprisoned because good drinker
As much of people
From its time, finally
It reproduced, of the parents
The same kind of behavior
But films
Are inevitably forgers
Like the very summary saloon always
A reversed barrel
And some chairs, that got the bargain
And of alcohol to get drunk
Always the illusion of the power
Who is the power of the illusion
All is always found
Other places, other forms, even distress
It is each one and each one its turn
Unceasingly misery is drawn up!
Any day, its mass
Its host, its village fair
Commercial life
Is an assault course
Too many people everywhere
What to become insane or insane
Like public transport
It is necessary to play of the elbow, it is unhealthy
Late trains
People throw themselves under the trains
Trains and rails which are without maintenance
In car
They are the congestions
Accidents, fines, suicides, which put in rage
All is war
There is only war
The human being against the human being
And all becomes problem, it is not malignant
Too
Each time has its against culture
To parody the intolerable one, refuse
Now
It is the street art
Bansky, Space invaser, Shepard Fairey
Seizer, Zeus, Borf, etc That likes
Comme Thierry Guetta (born in 1966)
LIFE REMOTE CONTROL, Mr. Brainwash
That became a market
The market of art, the art of the market
All is goods there
Repetition in the bags
The repetition of art
The art of the repetition
As too
Strategy of tension
Such an amount of practised by the fascists and Nazis
Like the attack of Oktoberfest
Of September 26th, 1980, which few people know
13 died, 211 wounded, including 68 low registers
Gundolf Kohler and others associated
And infiltrated German secret services
Some had the same ideas
Also, the business was choked!
The poor are treated
Like shit
But by a kind of complicity
They and they are let treat like shit
And with the new generations
Who are conditioned in the tender
All is allowed the domination
And as an alarm clock which sounds, early the morning
Because it is necessary to go to sorrow
The life became a humiliation
How in prison, and any possibility of escape!
We are accustomed to the wretched one
Because the competitions do not have anything noble
It make the suicides
And all homicides
It is really necessary to want some
To be easily deceived of this fair!
Mentalities changed finally little
But especially technologies and technicalities
Like a river of intolerance
With other reasons, eternal saillance
Ceaseless stupid competitions
For the money, the property
In an over-populated world
Where all, so is aggressiveness
Where all, so is mediocrity
The cinema, art, the comic ones
Science with the service of the technological whole
There are no more people, it is tragic
More and more of cretins and cretins
In series, the capital fate of its factories!
Admittedly
On television, there are good documentaries
But nobody really looks at them
To understand them, to look at them is not sufficient
, Oneself should already have been reflected there, front
And then most reactionaries
Prefer to look at the local or American series
Or all that is same vein
But especially
Not too much not to reflect
Subversive books, never not to read
For always voting, always electing
All faces of the domination, that made quiver!
Like capitalism, with mood mutinies
Who really began with colonialism
Of the Caribbean and the Latin America
Quite front (1776) “wealth of the nations”
Of fire (1723-1790) Adam Smith, this myth
Who made burn some of his manuscripts, like a rite
Doctrines of the personal interest, selfishness
Who would be thus of the altruism
The natural order of nature
Like natural order of the economy
But the law of the market is not natural
It is colonization, it is thus a sociocultural law
This law of the market
Who could colonize all the companies
Physiocrats of the liberal economy
Nowadays, liberal Fascism
A kind of natural monarchy
Circulation of the goods, cultural inequalities
Criminalisation of poverty
Essential to the market economy
1518, fire (1485-1547) the Cortes, colonist, player, assassin
Then, colonies, plunderings, rapes, murder, without any brake
Losses, profits, never of tomorrow
And always forced labor
By slavery of the colonized people
Then generalized by paid work
1750, Liverpool, port commercial
The race with the profit, beginning of the mass
The law of the figure
The figure of the law
The capital is a refuse
The capital is a scrapings
The capital is inhuman
Yesterday, today, like tomorrow
Any capitalism is totalitarian
Law of the strongest
Law which causes only deaths
But the capital can be disguised
And finally, it is still worse
Barter, exchange, forgery share
The capital and its new faces
More hitch-hiking but of the car-pooling
For capitalism a new age
In fact that is very old
Jump for the idiots and the cretins
And each year
1.3 billion tons of food substances
Are sacrificed in the world reactionary
Waste of food consumption
And also Switzerland
2200 billion dollars are hidden there
In safes, they are foreign assets
Capitalism
They is also these 650 hairy
Who were shot for the example
By military justice, war of 1914/1918
Perhaps reformed capitalism
All the infamies, the capital can adapt
Because all is dependent there
No possible blooming, all is failed there
One needs a world without money
Is needed an IMAGINING world!


Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysician ( http://patrice.faubert.over-blog.com/) Stalemate says the guest on “hiway.fr”

Patrice Faubert