Paraphysique de scotomisation
Patrice Faubert | 25.03.2014 13:43 | Culture | Cambridge | World
" Nous ne pardonnons qu'aux enfants et aux fous d'être francs avec nous : les autres, s'ils ont l'audace de les imiter, s'en repentiront tôt ou tard. "
E.M. Cioran ( 1911-1995 )
Comme le million de communistes exterminés
Par feu ( 1921-2008 ) Soeharto, dictateur indonésien
Et d'anciens tortionnaires de ce régime
Continuent à la télévision, la frime
Et au cinéma, les anciens bourreaux
Deviennent victimes, font les beaux !
De 1965 à 2014, toujours la parade
Pour ce qui est devenu une charade
Comme le plus beau métro du monde
Moscou, le risque que cela inonde
Un jour, tu creuses, trois jours, tu pompes
Début 1932, première ligne en 1935
C'est le grand édifice stalinien
Et aussi la dénonciation, déportation, élimination, en plein
Ce fut le vrai début de cette partie
Puis sans aucun frein avec la mort de feu ( 1868-1936 ) Maxime Gorki
TOUT a une histoire
L'invisible et ce que l'on peut voir
Comme les 70.000 personnes hospitalisées
En France, et ce chaque année
A la demande d'un tiers
Pour bouffées délirantes sévères
La santé mentale, quelle misère !
Et aussi 600.000 schizophrènes, qui errent
Avec des médicaments, c'est leur seul repère
Toutes les maladies de la société
La société de toutes les maladies
Cela donne le vertige
Il faut le maîtriser pour ne pas chuter
Comme le grimpeur ( né en 1962 ) Alain Robert
Qui escalade les tours de nos cités, comme à Dubaï, 828 m, record
Avec son acrophobie, il est de fer, ce trompe-la-mort
Oreille interne, vertige vestibulaire
Et c'est encore très culturel, ouvriers manuels
Comme les amérindiens sur les gratte-ciels
L'équilibre de sa tribu, mépris du vertige
Tribu de l'équilibre, vertige du mépris
Et ne pas passer pour un poltron
Quitte à faire dans son pantalon !
Et toutes les blessures que nous subissons
Font que petit à petit, nous nous isolons
Des autres, ainsi, nous nous protégeons
De tout, de rien, nous nous vexons
Toutes nos valeurs sont nos prisons
Nous sommes des lames de rasoir
Ce sont nos relations, sur nos visages, on peut les apercevoir !
Tu aurais dû écrire ceci, pas cela
Cela ne regardait personne, c'est pas sympa
Pourquoi en faire tant de brouhaha
Puisque tout le monde s'en fiche, voilà !
Quoi que l'on fasse, dans le règne du séparé
De toutes façons, un être humain sera blessé
Cela n'est pas là mon intention, sans vouloir que vous m'en excusiez
C'est simplement le souci de véracité !
Toutes les activités humaines ont des coulisses
Cela est bien caché pour ne pas révéler nos vices
Les pensées sont garrottées par nos paroles
Secrètement tout le monde en rigole !
En France, la ligne de démarcation
De 1940 à mars 1943, 1200 km de long
Est toujours là, pas seulement en guerre
Et c'est toujours partout la guerre
Mais dans le monde des affaires
L'armée allemande c'est le fini
L'armée marchande c'est l'infini
Bien plus subtile que la botte nazie
La zone occupée
Les pauvres d'un côté
La zone non occupée
Les riches d'un côté
Rien n'est jamais changé
Tout est simplement camouflé
Comme pour les hypermarchés
Avec les centrales pour l'achat
Sur la qualité un véritable crachat
Remballe, délottage, et les marges
Déférencement, des contrats à la mafia
Beaucoup de volume
Ainsi les bénéfices se hument
Et les fournisseurs qui perdent des thunes
Marché parallèle, occulte
Espagne, Pologne, et les prix qui mutent
C'est la guerre des prix
Le prix de la guerre, voici l'économie
Je n'écris que des idées
Donc, inutile de me juger
L'autocritique ? il suffit de me lire
Et toi-même ? et vous-même ? avant de me maudire !
De tous ces procès
Que l'on me fait
Pour moi, tout peut se dire
Ce que j'écris, tout le monde s'en fiche
Justement, que rien d'important ne reste à la niche !
La vérité n'est d'aucun port
Tout le monde veut sa mort
Personne, indemne n'en sort
Moi, toi, lui, elles, eux
A TOUT elle met le feu !
Tous et toutes nous l'allumons
Tous et toutes nous l'éteignons
Tous et toutes nous la nourrissons
Tous et toutes nous la falsifions
Moi, un dominé que personne n'apprécie
Et c'est très bien ainsi !
Un nez humain
Peut percevoir mille milliards d'odeurs
Aux nuances différentes, le nez est malin
Pas les nanoparticules, pour notre malheur !
Les yeux humains
Peuvent différencier 2000 à 3000 visages
L'exposition du photographe François Brunelle
" Je ne suis pas un sosie "
Dans ce monde subtilement nazi
Où toutes les idées se ressemblent
Bien plus que les physiques qui en pêle-mêle s'assemblent
En France, les idées du " Front national "
Sont dans tous les partis, c'est le capital
Mais des urnes, c'est la désertion
L'abstention, de la politique, veut la démission !
Et toute la racaille qui passe à la télévision
Toujours avec la même satisfaction !
Et pourtant, n'importe quel journal l'écrit
12 millions de morts et mortes, ô folie
Par la mauvaise qualité de l'air, cette lie
C'est dans le monde, chaque année
Cela devient une normalité !
La planète Terre est une chambre à gaz
Un gigantesque camp de concentration
Un gigantesque camp d'extermination
Néoparticules, pesticides, et autres poisons
Idéologies, croyances, travail, religions
Toutes les sortes de diverses pollutions
Le monde est devenu une poubelle
Nous y apportons notre petite corbeille
Il y eut des sociétés matrilinéaires
Femmes grandes comme les hommes, sociétés égalitaires
Puis vint l'horrible patriarcat
Qui à la femme, la nourriture confisqua
Ainsi, petit à petit, la femme rapetissa
Puis ce furent les Amazones, pas un mythe
Femmes guerrières des Scythes
La femme aussi peut le faire
L'archéologie doit réviser ses inventaires !
La vérité n'a pas le moindre ami
La vérité n'a pas le moindre amour
Car nous n'aimons pas la vérité
Nous ne pouvons pas la supporter !
Comme la pulpeuse actrice ( née en 1949 ) Fanny Ardant
A su le deviner, d'un air nonchalant
Toutes les activités humaines
Sont organisées dans et sur le mensonge
A cela, nos pensées sont naines
Aussi, la frustration, le ressentiment, nous rongent !
Je mens, tu mens, il ment, sans le savoir
Sinon, il n'y aurait aucun pouvoir
La vérité est sans cesse scotomisée
Car comme le soleil, elle peut nous aveugler
Aussi, le mensonge s'impose dans TOUT ce qui est manifesté !
Il faut ridiculiser tous les hommes politiques
Se gausser de toutes les femmes politiques
De ceux et celles qui votent pour cette répugnante colique
C'est cela qui fait le fascisme
C'est cela qui fait le nationalisme
C'est cela qui fait le stalinisme
C'est-à-dire le capitalisme
Partout le KGB, la Gestapo !
Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
“We forgive only the children and with insane to be frank with us: the others, if they have the audacity to imitate them, will repent it early or late. ”
E.M. Cioran (1911-1995)
Like the million exterminated Communists
By fire (1921-2008) Soeharto, Indonesian dictator
And of old of torture of this mode
Continue on television, brags it
And with the cinema, former torturers
Become victims, make the beautiful ones!
From 1965 to 2014, always the parade
As regards become a riddle
Like the most beautiful subway of the world
Moscow, the risk that floods
One day, you dig, three days, you pumps
At the beginning of 1932, first line in 1935
It is the large Stalinist building
And also the denunciation, deportation, elimination, into full
It was the true beginning of this part
Then without any brake with the death of fire (1868-1936) Maxime Gorki
ALL has a history
The invisible one and what one can see
Like the 70,000 hospitalized people
In France, and this each year
At the request of a third
For severe delirious puffs
Mental health, what a misery!
And also 600,000 schizophrenes, who wander
With drugs, it is their only reference mark
All diseases of the company
The company of all the diseases
That gives the giddiness
It should be controlled not to fall
Like climbing (born in 1962) Alain Robert
Who climbs the turns of our cities, as in Dubai, 828 m, record
With its fear of heights, it is of iron, this death-dodger
Internal ear, vestibular giddiness
And it is still very cultural, working handbooks
As the Amerindians on scrapes-ciels
The balance of its tribe, contempt of the giddiness
Tribe of balance, giddiness of the contempt
And not to pass for a coward
Since it is necessary to making in its trousers!
And all the wounds which we undergo
Make that gradually, we isolate ourselves
Others, thus, we protect ourselves
Of all, of nothing, we are upset
All our values are our prisons
We are razor blades
They are our relations, on our faces, one can see them!
You should have written this, not that
That did not look at anybody, they are not nice
Why do such an amount of hubbub of it
Since everyone is card-indexed some, here!
No matter what one does, in the reign of the separate one
In any case, a human being will be wounded
That is not my intention there, without wanting that you excuse me
It is simply the preoccupation with a veracity!
All the human activities have slides
That is well hidden not to reveal our defects
The thoughts are tied up by our words
Secretly everyone in drain!
In France, the demarcation line
From 1940 to March 1943, 1200 km length
Is always there, not only in war
And it is the war always everywhere
But in the business world
The German army it is finished
The commercial army it is the infinite one
Much more subtle than the boot Nazi
The occupied zone
The poor on a side
The nonoccupied zone
Rich person on a side
Nothing is never changed
All is simply camouflaged
As for the hypermarkets
With the power stations for the purchase
On quality a true spittle
Packs up again, délottage, and the margins
Déférencement, of the contracts at the Mafia
Much volume
Thus the benefit are smelled
And the suppliers who lose thunes
Parallel, occult market
Spain, Poland, and the prices which transfer
It is the price war
The price of the war, here economy
I write only ideas
Therefore, useless to judge me
Self-criticism? it is enough to read me
And yourself? and yourself? before me to curse!
Of all these lawsuits
That one makes me
For me, all can be said
What I write, everyone is card-indexed some
Precisely, that nothing important remains with the niche!
The truth is not of any port
Everyone wants its death
Nobody, unscathed leaves there
Me, you, him, they, them
ALL it sets fire!
All and all let us light we it
All and all let us extinguish we it
All and all let us nourish we it
All and all let us falsify we it
Me, one dominated that nobody appreciates
And it is very well thus!
A human nose
Can perceive thousand billion odors
With the different nuances, the nose is malignant
Not nanoparticules, for our misfortune!
Human eyes
Can differentiate 2000 to 3000 faces
The exposure of the photographer François Brunelle
“I am not a double”
In this world subtly Nazi
Where all the ideas resemble each other
Much more than physics which shovel-mixes some assemble
In France, ideas of the “National front”
Is in all the parties, it is the capital
But of the ballot boxes, it is the desertion
The abstention, of the policy, wants the resignation!
And all the rabble which passes on television
Always with same satisfaction!
And yet, any newspaper writes it
12 million dead and died, ô madness
By the poor quality of the air, these dregs
It is in the world, each year
That becomes a normality!
The planet Ground is a gas chamber
A gigantic concentration camp
A gigantic death camp
Néoparticules, pesticides, and other poisons
Ideologies, beliefs, work, religions
All kinds of various pollution
The world became a dustbin
We bring our small basket there
There were matrilinear companies
Large women like the levelling men, companies
Then the horrible patriarchate came
Who with the woman, food confiscated
Thus, gradually, the woman reduced
Then they were Amazones, not a myth
Warlike women of the Scythian ones
The woman can also do it
Archaeology must revise its inventories!
The truth does not have the least friend
The truth does not have the least love
Because we do not like the truth
We cannot support it!
Like the pulpy actress (born in 1949) Fanny Ardant
With known to guess it, of a nonchalant air
All human activities
Are organized in and on the lie
With that, our thoughts are dwarf
Also, frustration, the resentment, corrode us!
I lie, you lie, it lies, without the knowledge
If not, there would be no power
The truth is unceasingly scotomisée
Because like the sun, it can plug us
Also, the lie is essential in ALL that is expressed!
All the politicians should be ridiculed
To mock of all the political women
Those and those which vote for this feeling reluctant colic
It is that which makes Fascism
It is that which makes nationalism
It is that which makes Stalinism
I.e. capitalism
Everywhere the KGB, Gestapo!
Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysician ( http://patrice.faubert.over-blog.com/) Stalemate says the guest on “hiway.fr”
E.M. Cioran ( 1911-1995 )
Comme le million de communistes exterminés
Par feu ( 1921-2008 ) Soeharto, dictateur indonésien
Et d'anciens tortionnaires de ce régime
Continuent à la télévision, la frime
Et au cinéma, les anciens bourreaux
Deviennent victimes, font les beaux !
De 1965 à 2014, toujours la parade
Pour ce qui est devenu une charade
Comme le plus beau métro du monde
Moscou, le risque que cela inonde
Un jour, tu creuses, trois jours, tu pompes
Début 1932, première ligne en 1935
C'est le grand édifice stalinien
Et aussi la dénonciation, déportation, élimination, en plein
Ce fut le vrai début de cette partie
Puis sans aucun frein avec la mort de feu ( 1868-1936 ) Maxime Gorki
TOUT a une histoire
L'invisible et ce que l'on peut voir
Comme les 70.000 personnes hospitalisées
En France, et ce chaque année
A la demande d'un tiers
Pour bouffées délirantes sévères
La santé mentale, quelle misère !
Et aussi 600.000 schizophrènes, qui errent
Avec des médicaments, c'est leur seul repère
Toutes les maladies de la société
La société de toutes les maladies
Cela donne le vertige
Il faut le maîtriser pour ne pas chuter
Comme le grimpeur ( né en 1962 ) Alain Robert
Qui escalade les tours de nos cités, comme à Dubaï, 828 m, record
Avec son acrophobie, il est de fer, ce trompe-la-mort
Oreille interne, vertige vestibulaire
Et c'est encore très culturel, ouvriers manuels
Comme les amérindiens sur les gratte-ciels
L'équilibre de sa tribu, mépris du vertige
Tribu de l'équilibre, vertige du mépris
Et ne pas passer pour un poltron
Quitte à faire dans son pantalon !
Et toutes les blessures que nous subissons
Font que petit à petit, nous nous isolons
Des autres, ainsi, nous nous protégeons
De tout, de rien, nous nous vexons
Toutes nos valeurs sont nos prisons
Nous sommes des lames de rasoir
Ce sont nos relations, sur nos visages, on peut les apercevoir !
Tu aurais dû écrire ceci, pas cela
Cela ne regardait personne, c'est pas sympa
Pourquoi en faire tant de brouhaha
Puisque tout le monde s'en fiche, voilà !
Quoi que l'on fasse, dans le règne du séparé
De toutes façons, un être humain sera blessé
Cela n'est pas là mon intention, sans vouloir que vous m'en excusiez
C'est simplement le souci de véracité !
Toutes les activités humaines ont des coulisses
Cela est bien caché pour ne pas révéler nos vices
Les pensées sont garrottées par nos paroles
Secrètement tout le monde en rigole !
En France, la ligne de démarcation
De 1940 à mars 1943, 1200 km de long
Est toujours là, pas seulement en guerre
Et c'est toujours partout la guerre
Mais dans le monde des affaires
L'armée allemande c'est le fini
L'armée marchande c'est l'infini
Bien plus subtile que la botte nazie
La zone occupée
Les pauvres d'un côté
La zone non occupée
Les riches d'un côté
Rien n'est jamais changé
Tout est simplement camouflé
Comme pour les hypermarchés
Avec les centrales pour l'achat
Sur la qualité un véritable crachat
Remballe, délottage, et les marges
Déférencement, des contrats à la mafia
Beaucoup de volume
Ainsi les bénéfices se hument
Et les fournisseurs qui perdent des thunes
Marché parallèle, occulte
Espagne, Pologne, et les prix qui mutent
C'est la guerre des prix
Le prix de la guerre, voici l'économie
Je n'écris que des idées
Donc, inutile de me juger
L'autocritique ? il suffit de me lire
Et toi-même ? et vous-même ? avant de me maudire !
De tous ces procès
Que l'on me fait
Pour moi, tout peut se dire
Ce que j'écris, tout le monde s'en fiche
Justement, que rien d'important ne reste à la niche !
La vérité n'est d'aucun port
Tout le monde veut sa mort
Personne, indemne n'en sort
Moi, toi, lui, elles, eux
A TOUT elle met le feu !
Tous et toutes nous l'allumons
Tous et toutes nous l'éteignons
Tous et toutes nous la nourrissons
Tous et toutes nous la falsifions
Moi, un dominé que personne n'apprécie
Et c'est très bien ainsi !
Un nez humain
Peut percevoir mille milliards d'odeurs
Aux nuances différentes, le nez est malin
Pas les nanoparticules, pour notre malheur !
Les yeux humains
Peuvent différencier 2000 à 3000 visages
L'exposition du photographe François Brunelle
" Je ne suis pas un sosie "
Dans ce monde subtilement nazi
Où toutes les idées se ressemblent
Bien plus que les physiques qui en pêle-mêle s'assemblent
En France, les idées du " Front national "
Sont dans tous les partis, c'est le capital
Mais des urnes, c'est la désertion
L'abstention, de la politique, veut la démission !
Et toute la racaille qui passe à la télévision
Toujours avec la même satisfaction !
Et pourtant, n'importe quel journal l'écrit
12 millions de morts et mortes, ô folie
Par la mauvaise qualité de l'air, cette lie
C'est dans le monde, chaque année
Cela devient une normalité !
La planète Terre est une chambre à gaz
Un gigantesque camp de concentration
Un gigantesque camp d'extermination
Néoparticules, pesticides, et autres poisons
Idéologies, croyances, travail, religions
Toutes les sortes de diverses pollutions
Le monde est devenu une poubelle
Nous y apportons notre petite corbeille
Il y eut des sociétés matrilinéaires
Femmes grandes comme les hommes, sociétés égalitaires
Puis vint l'horrible patriarcat
Qui à la femme, la nourriture confisqua
Ainsi, petit à petit, la femme rapetissa
Puis ce furent les Amazones, pas un mythe
Femmes guerrières des Scythes
La femme aussi peut le faire
L'archéologie doit réviser ses inventaires !
La vérité n'a pas le moindre ami
La vérité n'a pas le moindre amour
Car nous n'aimons pas la vérité
Nous ne pouvons pas la supporter !
Comme la pulpeuse actrice ( née en 1949 ) Fanny Ardant
A su le deviner, d'un air nonchalant
Toutes les activités humaines
Sont organisées dans et sur le mensonge
A cela, nos pensées sont naines
Aussi, la frustration, le ressentiment, nous rongent !
Je mens, tu mens, il ment, sans le savoir
Sinon, il n'y aurait aucun pouvoir
La vérité est sans cesse scotomisée
Car comme le soleil, elle peut nous aveugler
Aussi, le mensonge s'impose dans TOUT ce qui est manifesté !
Il faut ridiculiser tous les hommes politiques
Se gausser de toutes les femmes politiques
De ceux et celles qui votent pour cette répugnante colique
C'est cela qui fait le fascisme
C'est cela qui fait le nationalisme
C'est cela qui fait le stalinisme
C'est-à-dire le capitalisme
Partout le KGB, la Gestapo !
Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
“We forgive only the children and with insane to be frank with us: the others, if they have the audacity to imitate them, will repent it early or late. ”
E.M. Cioran (1911-1995)
Like the million exterminated Communists
By fire (1921-2008) Soeharto, Indonesian dictator
And of old of torture of this mode
Continue on television, brags it
And with the cinema, former torturers
Become victims, make the beautiful ones!
From 1965 to 2014, always the parade
As regards become a riddle
Like the most beautiful subway of the world
Moscow, the risk that floods
One day, you dig, three days, you pumps
At the beginning of 1932, first line in 1935
It is the large Stalinist building
And also the denunciation, deportation, elimination, into full
It was the true beginning of this part
Then without any brake with the death of fire (1868-1936) Maxime Gorki
ALL has a history
The invisible one and what one can see
Like the 70,000 hospitalized people
In France, and this each year
At the request of a third
For severe delirious puffs
Mental health, what a misery!
And also 600,000 schizophrenes, who wander
With drugs, it is their only reference mark
All diseases of the company
The company of all the diseases
That gives the giddiness
It should be controlled not to fall
Like climbing (born in 1962) Alain Robert
Who climbs the turns of our cities, as in Dubai, 828 m, record
With its fear of heights, it is of iron, this death-dodger
Internal ear, vestibular giddiness
And it is still very cultural, working handbooks
As the Amerindians on scrapes-ciels
The balance of its tribe, contempt of the giddiness
Tribe of balance, giddiness of the contempt
And not to pass for a coward
Since it is necessary to making in its trousers!
And all the wounds which we undergo
Make that gradually, we isolate ourselves
Others, thus, we protect ourselves
Of all, of nothing, we are upset
All our values are our prisons
We are razor blades
They are our relations, on our faces, one can see them!
You should have written this, not that
That did not look at anybody, they are not nice
Why do such an amount of hubbub of it
Since everyone is card-indexed some, here!
No matter what one does, in the reign of the separate one
In any case, a human being will be wounded
That is not my intention there, without wanting that you excuse me
It is simply the preoccupation with a veracity!
All the human activities have slides
That is well hidden not to reveal our defects
The thoughts are tied up by our words
Secretly everyone in drain!
In France, the demarcation line
From 1940 to March 1943, 1200 km length
Is always there, not only in war
And it is the war always everywhere
But in the business world
The German army it is finished
The commercial army it is the infinite one
Much more subtle than the boot Nazi
The occupied zone
The poor on a side
The nonoccupied zone
Rich person on a side
Nothing is never changed
All is simply camouflaged
As for the hypermarkets
With the power stations for the purchase
On quality a true spittle
Packs up again, délottage, and the margins
Déférencement, of the contracts at the Mafia
Much volume
Thus the benefit are smelled
And the suppliers who lose thunes
Parallel, occult market
Spain, Poland, and the prices which transfer
It is the price war
The price of the war, here economy
I write only ideas
Therefore, useless to judge me
Self-criticism? it is enough to read me
And yourself? and yourself? before me to curse!
Of all these lawsuits
That one makes me
For me, all can be said
What I write, everyone is card-indexed some
Precisely, that nothing important remains with the niche!
The truth is not of any port
Everyone wants its death
Nobody, unscathed leaves there
Me, you, him, they, them
ALL it sets fire!
All and all let us light we it
All and all let us extinguish we it
All and all let us nourish we it
All and all let us falsify we it
Me, one dominated that nobody appreciates
And it is very well thus!
A human nose
Can perceive thousand billion odors
With the different nuances, the nose is malignant
Not nanoparticules, for our misfortune!
Human eyes
Can differentiate 2000 to 3000 faces
The exposure of the photographer François Brunelle
“I am not a double”
In this world subtly Nazi
Where all the ideas resemble each other
Much more than physics which shovel-mixes some assemble
In France, ideas of the “National front”
Is in all the parties, it is the capital
But of the ballot boxes, it is the desertion
The abstention, of the policy, wants the resignation!
And all the rabble which passes on television
Always with same satisfaction!
And yet, any newspaper writes it
12 million dead and died, ô madness
By the poor quality of the air, these dregs
It is in the world, each year
That becomes a normality!
The planet Ground is a gas chamber
A gigantic concentration camp
A gigantic death camp
Néoparticules, pesticides, and other poisons
Ideologies, beliefs, work, religions
All kinds of various pollution
The world became a dustbin
We bring our small basket there
There were matrilinear companies
Large women like the levelling men, companies
Then the horrible patriarchate came
Who with the woman, food confiscated
Thus, gradually, the woman reduced
Then they were Amazones, not a myth
Warlike women of the Scythian ones
The woman can also do it
Archaeology must revise its inventories!
The truth does not have the least friend
The truth does not have the least love
Because we do not like the truth
We cannot support it!
Like the pulpy actress (born in 1949) Fanny Ardant
With known to guess it, of a nonchalant air
All human activities
Are organized in and on the lie
With that, our thoughts are dwarf
Also, frustration, the resentment, corrode us!
I lie, you lie, it lies, without the knowledge
If not, there would be no power
The truth is unceasingly scotomisée
Because like the sun, it can plug us
Also, the lie is essential in ALL that is expressed!
All the politicians should be ridiculed
To mock of all the political women
Those and those which vote for this feeling reluctant colic
It is that which makes Fascism
It is that which makes nationalism
It is that which makes Stalinism
I.e. capitalism
Everywhere the KGB, Gestapo!
Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysician ( http://patrice.faubert.over-blog.com/) Stalemate says the guest on “hiway.fr”
Patrice Faubert