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Real humans ou la pensée conditionnée

Patrice Faubert | 13.04.2013 12:32 | Culture | Wales

La pensée naturelle ou artificielle est toujours conditionnée...

Machines réelles
Humains machines
Voici encore un placet
Comme toujours, à quiconque ne plaît
Devant l'aspasie artificielle
Ravies, je peux imaginer nos mines
Real humans, c'est du réchauffé
De l'ancien très amélioré
Les automates
De feu (1709-1782) Jacques de Vaucanson
Cela n'était pas du bidon
L'automate dit turc mécanique
De feu (1734-1804) Wolfgang Von Kempelen
C'était mieux que la sirène
Fameux joueur d'échecs
Réutilisé par feu (1772-1838) Johann Maelzel
Inventeur du métronome, sacré mec
Et le sublime, feu (1809-1849) Edgar Allan Poe
En fit une nouvelle, avec ses mots
" Le joueur d'échecs de Maelzel "
Feu Edgar Allan Poe qui fut assassiné
En étant, de force, saoulé à mort
Par des agents électoraux, pour un politicien, pour qui voter
La poésie, des fleurs, doit parler
Et surtout, ne jamais rien dater
La misère et la corruption
Jamais, il ne faut dénoncer !
Mais moi, je ne joue pas ce jeu
Et sur moi, l'indifférence, fait son feu !
Tant pis ou tant mieux
A la vérité, cela m'importe peu !
Donc, les robots, tels les hubots
A venir, sont en fait, déjà là
Et sont programmés par nos cerveaux
Avec des programmes sots
Et c'est assez idiot, nous sommes des hubots
Car les êtres humains sont eux-mêmes des robots
Aux faits et gestes mécaniques
Sans penser à rien, tout est automatique
Le robot est sans liberté
L'être humain est sans liberté
Une seule pièce aux deux mêmes faces
Même conditionnement et même farce !
Mais le robot
Est sans affectivité
Son conditionnement est électronique
Alors que l'être humain
A une affectivité
Son conditionnement est psychologique
Mais tout pourrait changer
Avec une mémoire artificielle
D'une affectivité implantée où se mêle le sexuel
Mais si l'être humain
Peut fabriquer et programmer le robot à son image
Les circuits électroniques
N'ont pas de sang, ils ne sont qu'une réplique
Cela pourrait être une circulation quantique
Et non pas, comme l'être humain, une circulation chimique !
Quoi qu'il en soit, la pensée est toujours conditionnée
Qu'elle soit naturelle ou artificielle
Par tous ceux et toutes celles
Qui sur la planète Terre, un jour, sont nés
Plus ou moins cent milliards
D'anciennes vies, à nous, sont mélangées
Tout se reproduit, tout est imité
En nous
Sont des milliards de morts et de mortes
Sont des milliards de vivants et de vivantes
Tout est dans tout, de la sorte !
La pensée non conditionnée
Est sans passé, sans présent, sans futur, sans âge
Elle est simultanée et perçoit tous les mirages
Elle n'appartient à personne
Ni riche, ni pauvre, ni tout, ni rien, elle étonne !
C'est le dernier niveau d'organisation
Que l'on ne peut jamais atteindre
Simplement l'envisager, pour l'étreindre
Les animaux non-humains
Sont nos esclaves , nos peluches animées
Pour nous amuser ou être mangés
Calmer nos comportements névrotiques
Remplir nos estomacs tyranniques
A leur encontre, nous justifions nos forfaits
En disant qu'ils sont bêtes, nous sommes laids !
Certes, ils n'ont pas de langage
Pour tuer, dépecer, manger, ce rusé bagage
De l'humain qui met tout en cage
Il faut évanouir la culpabilité
Pour l'animal non-humain, dévoré !
Nonobstant, nous ne volons
Pas, comme les oiseaux
Cependant, nous ne nageons
Pas, comme les poissons
Nous sommes si bêtes !
Comme les singes
Aux arbres, nous ne savons grimper
Comme les chauves-souris
Qui perçoivent les ultrasons
A cela, nous sommes dans la surdité
Nous sommes si bêtes !
Si les bêtes le savaient
Sans hésiter, elle nous mangeraient
Oui, elles sont si bêtes !
De plus, certaines bêtes savent compter
Comme les Cacatoès et les chimpanzés
Et la pie, dans le miroir, peut s'identifier !
Tout pourrait être différent
Sans aucun conditionnement, du conditionnement
De savoir, que justement, tout est conditionnement !
De ce fait, toute croyance
Est le résultat d'un apprentissage et d'un conditionnement
Il en va ainsi pour toutes les choses
Comme pour les plus belles roses
La lucidité est conditionnée
La prétendue objectivité est conditionnée
L'invention de la domination
Est la domination de l'invention
Ce qui est conditionné
Ne correspond jamais à la réalité
Sinon à la réalité de ce qui est conditionné
Et qui conditionne donc notre perception de la réalité
Toutes les politiques des gouvernements
Sont de la pensée conditionnée, qui forcément, ment !
Nos cerveaux
Sont programmés, engrammés, conditionnés
Par des apprentissages, dès la naissance, dès le berceau
Par la langue d'un pays, ou de plusieurs pays
Par les coutumes d'un pays
Par l'histoire d' un pays
Ce qui fait un nationalisme
Ce qui fait un racisme
C'est déjà une guerre
Dans tous les pays, il en va ainsi !
Tout le monde s'utilisant pour son profit
Ne pas le faire, c'est de l'anarchie
Qui des horreurs, fait fi !
Comme l'église catholique
Toujours en colique
Du côté du plus fort
Et qui à toujours tort !
Comme avec son pape François
Devant la torture, jamais en émoi
Et qui fut l'ami de feu (1925-2010) le général Eduardo Massera
En Argentine, des tortionnaires militaires et de leurs ébats
Ils se font oublier, mais sont toujours là !
La bête immonde et son produit
Est partout présente, qui se tapit !
C'est la propriété, la compétition, le profit, la religion
L'église, la rivalité, l'idéologie, la tradition
A la vie, ce sont des bandits
Que toutes les atrocités marient
Voter est un acte complice
A tous ces maléfices !
Le monde est nazi
Le monde est fini
Partout des pleurs dans les tombes
Et des squelettes qui pleuvent en trombe !





Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (  http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur "hiway.fr"



Real machines
Human machine
Here is a petition
As always, anyone please
Aspasia before the artificial
Delighted, I can imagine our mines
Real humans, is a rehash
Former greatly improved
PLCs
Fire (1709-1782) Jacques de Vaucanson
It was not phony
The controller said Turkish mechanical
Fire (1734-1804) Wolfgang Von Kempelen
It was better than the siren
Famous chess player
Reused by fire (1772-1838) Johann Maelzel
Inventor of the metronome, sacred guy
And the sublime, fire (1809-1849) Edgar Allan Poe
Made her a new word with its
"The chess player Maelzel"
Late Edgar Allan Poe, who was assassinated
Being, strength, drunk to death
By election officials for a politician who to vote for
Poetry, flowers, must speak
And above all, never to date
Poverty and corruption
Ever, it must be denounced!
But I do not play this game
And me, indifference, made his fire!
Too bad as or better
In truth, I do not care!
So, robots, such as hubots
Coming up, in fact, already there
And our brains are programmed by
With programs fools
And it's pretty silly, we are hubots
Because human beings are themselves robots
The doings mechanical
Without thinking about anything, everything is automatic
The robot has no freedom
Human beings are without freedom
One piece the same two faces
Same packaging and same farce!
But the robot
Affectivity is not
Its packaging is electronic
While the human
A affectivity
Its packaging is psychological
But everything could change
With an artificial memory
In affectivity located where blends the sexual
But if human beings
Can build and program the robot in his image
Electronic circuits
Do not have blood, they are a replica
This could be a circulation quantum
And not as a human being, a chemical circulation!
Anyway, the thought is still conditioned
Whether natural or artificial
For all those and all those
Who on Earth one day are born
More or less one hundred billion
Ancient lives, we are mixed
All breeds, everything is copied
As we
Are billions of dead and dead
Are billions of living and living
All in all, this way!
Thinking unconditioned
Is no past, no present, no future, no age
It is simultaneous and collects all the mirages
It belongs to no one
Neither rich nor poor, neither all nor nothing, she surprised!
This is the last level of organization
That we can never reach
Simply look for the hug
The non-human animals
Are our slaves, our plush animated
To have fun or be eaten
Calm our neurotic behavior
Fill our stomachs tyrannical
A against them, we justify our packages
Saying they are stupid, we are ugly!
Certainly, they do not have language
To kill, dismember, eat, cunning baggage
The human makes every cage
Must vanish guilt
For the non-human animal devoured!
Nevertheless, we do not steal
Not like birds
However, we do not swim
Not like fish
We are so stupid!
Like monkeys
Trees, we do climb
Like bats
Who perceive ultrasound
To this, we are in deafness
We are so stupid!
If the animals knew
Without hesitation, she eat
Yes, they are so stupid!
In addition, some animals can count
As Cockatoo and chimpanzees
And pie in the mirror, can identify!
Everything could be different
No packaging, packaging
Knowledge, just as everything is packaging!
Thus, any belief
Is the result of a learning and packaged
This applies to all things
As for the most beautiful roses
Lucidity is conditioned
The alleged objectivity depends
The invention of domination
Is the dominance of the invention
Which is conditioned
Never matches reality
If not the reality of what is conditioned
And therefore determines our perception of reality
All government policies
Are conditioned thought, which necessarily lies!
Our brains
Are programmed, engrams, put
By learning from birth, from the cradle
The language of a country or several countries
By the customs of a country
The history of a country
What makes a nationalism
What makes racism
This is already a war
In all countries, it is so!
Everyone is using for his own benefit
Do not do it, it is anarchy
Who horrors, ignored!
As the Catholic Church
Still colic
The stronger side
And always wrong!
As with the Pope François
To torture, never stir
And who was the friend of the late (1925-2010) General Eduardo Massera
In Argentina, military torturers and their antics
They are forgotten, but are still there!
The vile beast and its product
Is omnipresent, lurks!
It is the property, competition, profit, religion
The church, the rivalry, ideology, tradition
A life, they are bandits
That all the atrocities married
Voting is an act of complicity
In all these curses!
The world is Nazi
The world is finite
Everywhere crying in graves
Skeletons and showered with a bang!





Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest on "hiway.fr"

Patrice Faubert