Monsanto is trying to reduce to silence the Confederatione Paysanne (small farmers union)to recover 196,000 euros (£150,000) in damages and interests due for the destruction of plots of GMOs at Monbequi in 1998 . Monsanto is looking to reduce our union to silence . Since 1997 Confederation Paysanne has been opposing transnationals of agro chemicals and seeds . Monsanto is one of the market leaders . We refuse firmly and resolutely the use of OGM in agriculture which has lead us on many occasions with others to us to oppose this multinational which wants only to impose its domination and increase its profits . The Confederation Paysanne will not let itself be intimidated . Already all those who refuse OGM in the name of the rights of citizens to have healthy food and biodiversity . In the name of farmers and the autonomy and in the name of consumers food of quality must mobilise and continue to support the Confederatione Paysanne and their partners against the impossible coexistence of non :OGM and OGM and against the financial repression destined to the company which wants to gag us . The result of the referendum of the 27th of November 2005 is a moratorium of five years and show the determination of citizens to protect their environment and their food . Today in France such a moratorium is more than ever indispensable to debate democratically the question of OGMs like the demand of the communal declaration “Genetically Modified Organisms” already signed by a dozen organisations ;

104, Rue Robespierre, 93170 BAGNOLET
Contacts : Olivier Keller 06 26 45 19 48 Régis Hochart 06 08 75 00 73
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Mention : Solidarité contre Monsanto




Dernier communiqué publié : Monsanto cherche à réduire au silence la Confédération paysanne par la répression financière
En faisant bloquer les comptes bancaires de la Confédération paysanne pour recouvrer les 196 000 € de dommages et intérêts dus, pour la neutralisation de parcelles OGM à Monbéqui (82) en 1998, MONSANTO cherche à réduire notre syndicat au silence. Depuis 1997, la Confédération paysanne s’est opposée aux transnationales de l’agro-chimie et des semences, dont MONSANTO est un des leaders. Notre refus ferme et résolu de l’utilisation des OGM en agriculture nous a amené, à plusieurs reprises, avec d’autres, à nous opposer à cette multinationale qui ne cherche qu’à imposer sa domination et à augmenter ses profits. La Confédération paysanne ne se laissera pas intimider. D’ores et déjà, toutes celles et tous ceux qui refusent les OGM au nom du droit des citoyens à un environnement sain et à la biodiversité, au nom du droit des paysans à l’autonomie et au nom du droit des consommateurs à une alimentation de qualité, doivent se mobiliser et continuer de soutenir la Confédération paysanne et ses partenaires contre l’impossible coexistence non OGM/OGM et contre cette répression financière destinée à la bâillonner. Le résultat du référendum du 27 novembre 2005 sur les OGM en Suisse - moratoire de 5 ans - a montré la détermination des citoyens à protéger leur environnement et leur alimentation. Aujourd’hui, en France, un tel moratoire est plus que jamais indispensable pour débattre démocratiquement de la question des OGM comme le demande la déclaration commune « Organismes Génétiquement Modifiés » déjà signée depuis le 10 novembre dernier par une dizaine d’organisations .
mis de la Confédération paysanne, 104, Rue Robespierre,