Europe of Nations!
Europe of Nations... | 01.12.2003 16:55 | Globalisation
Europe de Nation? Ce quoi exacte?
Mais qui a dit son contraire ?..
« Les pays de l'Union européenne doivent se conduire en alliés des Etats-Unis, pas en contrepoids. A l'origine des positions de certains pays européens tels que la France et l'Allemagne, apparaît le désir de jouer le rôle de contrepoids aux Etats- Unis sur la scène mondiale. Ce désir prend le pas sur tout autre lien avec les Etats- Unis et mène même à la confrontation sur la scène internationale. Plutôt que mettre l'accent sur la confrontation et la mise en place d'un contrepoids, notre partenariat transatlantique doit être cimenté de manière appropriée. L'identité (européenne) ne peut pas être construite sur une opposition aux Etats-Unis, mais être bâtie sur un travail en commun à l'intérieur de la communauté internationale. Une politique étrangère européenne ne peut pas être centrée sur le maintien d'un équilibre des pouvoirs dans le monde, mais plutôt sur les valeurs et les objectifs que nous partageons avec les Etats-Unis. »
Réponse : Ana Palacio, Ministre espagnole des affaires étrangères Wall Street Journal, 25 mars 2003, repris par dépêche AFP du 25 mars, 15h13.
Lettre ouverte du 30 janvier 2003
L'Europe et les États-Unis sont véritablement unis par les valeurs que nous partageons : démocratie, liberté individuelle, droits de l'homme et l'autorité de la loi.
Aujourd'hui plus que jamais, le lien transatlantique est une garantie de notre liberté.
Nous, Européens, avons avec les États-Unis une relation qui a résisté à l'épreuve du temps. [...] Ce lien transatlantique ne doit pas devenir la victime des tentatives persistantes du régime irakien actuel de menacer la sécurité internationale. Dans le monde d'aujourd'hui, plus que jamais, il est vital que nous protégions cette unité et cette cohésion.
Réponse : Lettre ouverte du 30 janvier 2003 cosignée des chefs d’Etat et de gouvernement Vaclav Havel (République tchèque), José Maria Aznar (Espagne), José-Manuel Duro Barroso (Portugal), Silvio Berlusconi (Italie), Tony Blair (Grande-Bretagne), Peter Medgyessy (Hongrie), Leszek Miller (Pologne) et Anders Fogh Rasmussen (Danemark).
a) Lettre ouverte du 30 janvier 2003 un Faux pas Diplomatique de toute facon!
Et que dit-on à Washington ?
« J'ai beaucoup d'affection pour la France et les Français.
Ce qui me dérange, c'est la politique du président Jacques Chirac.
Je distingue la position allemande de la position française.
Dans le cas de l'Allemagne, cette politique est le fruit de problèmes électoraux. Le chancelier a essayé d'améliorer ses résultats auprès d'un certain groupe d'électeurs [...] Mais en dehors de ça, l'Allemagne veut maintenir d'étroites relations avec les Etats-Unis, et réciproquement.Les motivations françaises sont différentes. [...] La France veut bâtir l'Europe comme un contrepoids aux Etats-Unis. Entre alliés, on ne peut pas être d'accord sur tout. Mais de là à faire une stratégie de ce positionnement en contre-pouvoir... C'est destructeur et inutile. »
Réponse : Richard Perle, Président du conseil consultatif de défense américain: « Ne pas construire l'Europe contre les Etats-Unis »
Propos recueillis par Guillemette Faure Le Figaro 15 février 2003
Est que dit le traité de Maastricht ?
La politique de l'Union au sens du présent article n'affecte pas le caractère spécifique de la politique de sécurité et de défense de certains États membres, elle respecte les obligations découlant pour certains États membres du traité de l'Atlantique Nord et elle est compatible avec la politique commune de sécurité et de défense arrêtée dans ce cadre.»
Réponse: article J4, § 4 du traité de Maastricht . Le texte fondateur de l’Union européenne est donc dénué d’ambiguïtés: la « PESC » doit être « compatible » avec l’OTAN.
Il n’est pas question d'un quelconque «contrepoids» aux Etats-Unis.
Mais qui a dit son contraire ?..
« Les pays de l'Union européenne doivent se conduire en alliés des Etats-Unis, pas en contrepoids. A l'origine des positions de certains pays européens tels que la France et l'Allemagne, apparaît le désir de jouer le rôle de contrepoids aux Etats- Unis sur la scène mondiale. Ce désir prend le pas sur tout autre lien avec les Etats- Unis et mène même à la confrontation sur la scène internationale. Plutôt que mettre l'accent sur la confrontation et la mise en place d'un contrepoids, notre partenariat transatlantique doit être cimenté de manière appropriée. L'identité (européenne) ne peut pas être construite sur une opposition aux Etats-Unis, mais être bâtie sur un travail en commun à l'intérieur de la communauté internationale. Une politique étrangère européenne ne peut pas être centrée sur le maintien d'un équilibre des pouvoirs dans le monde, mais plutôt sur les valeurs et les objectifs que nous partageons avec les Etats-Unis. »
Réponse : Ana Palacio, Ministre espagnole des affaires étrangères Wall Street Journal, 25 mars 2003, repris par dépêche AFP du 25 mars, 15h13.
Lettre ouverte du 30 janvier 2003
L'Europe et les États-Unis sont véritablement unis par les valeurs que nous partageons : démocratie, liberté individuelle, droits de l'homme et l'autorité de la loi.
Aujourd'hui plus que jamais, le lien transatlantique est une garantie de notre liberté.
Nous, Européens, avons avec les États-Unis une relation qui a résisté à l'épreuve du temps. [...] Ce lien transatlantique ne doit pas devenir la victime des tentatives persistantes du régime irakien actuel de menacer la sécurité internationale. Dans le monde d'aujourd'hui, plus que jamais, il est vital que nous protégions cette unité et cette cohésion.
Réponse : Lettre ouverte du 30 janvier 2003 cosignée des chefs d’Etat et de gouvernement Vaclav Havel (République tchèque), José Maria Aznar (Espagne), José-Manuel Duro Barroso (Portugal), Silvio Berlusconi (Italie), Tony Blair (Grande-Bretagne), Peter Medgyessy (Hongrie), Leszek Miller (Pologne) et Anders Fogh Rasmussen (Danemark).
a) Lettre ouverte du 30 janvier 2003 un Faux pas Diplomatique de toute facon!
Et que dit-on à Washington ?
« J'ai beaucoup d'affection pour la France et les Français.
Ce qui me dérange, c'est la politique du président Jacques Chirac.
Je distingue la position allemande de la position française.
Dans le cas de l'Allemagne, cette politique est le fruit de problèmes électoraux. Le chancelier a essayé d'améliorer ses résultats auprès d'un certain groupe d'électeurs [...] Mais en dehors de ça, l'Allemagne veut maintenir d'étroites relations avec les Etats-Unis, et réciproquement.Les motivations françaises sont différentes. [...] La France veut bâtir l'Europe comme un contrepoids aux Etats-Unis. Entre alliés, on ne peut pas être d'accord sur tout. Mais de là à faire une stratégie de ce positionnement en contre-pouvoir... C'est destructeur et inutile. »
Réponse : Richard Perle, Président du conseil consultatif de défense américain: « Ne pas construire l'Europe contre les Etats-Unis »
Propos recueillis par Guillemette Faure Le Figaro 15 février 2003
Est que dit le traité de Maastricht ?
La politique de l'Union au sens du présent article n'affecte pas le caractère spécifique de la politique de sécurité et de défense de certains États membres, elle respecte les obligations découlant pour certains États membres du traité de l'Atlantique Nord et elle est compatible avec la politique commune de sécurité et de défense arrêtée dans ce cadre.»
Réponse: article J4, § 4 du traité de Maastricht . Le texte fondateur de l’Union européenne est donc dénué d’ambiguïtés: la « PESC » doit être « compatible » avec l’OTAN.
Il n’est pas question d'un quelconque «contrepoids» aux Etats-Unis.
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01.12.2003 17:25
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Fredrico
e-mail: musteatvegan@yahoo.co.uk
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