25th April at 1.00 pm at: All Saints Park : Oxford Road
Manchester (near B.B.C. T.V.)
STOP THE BNP - STOP LEPENN
All Trade Unionists and Anti-Fascists are urged to meet on Sunday
25th April at 1.00 pm at: All Saints Park : Oxford Road
Manchester (near B.B.C. T.V.)
To stop the leader of the French Fascist Party Le Pen holding a press
conference to launch the B.N.P. European Campaign. We know the event
is scheduled for 2.00 pm but we will not find out the venue until
Sunday morning.
Greater Manchester T.U.C., U.A.F. and Searchlight urge everyone to
keep Manchester a Fascist Free Zone by joining our protest and
meeting at the assembly point, then demonstrate at the B.N.P. meeting.
Jean Marie Le Pen, leader of the French fascist organisation the
Front National, has been invited to speak in the UK by the Nazi BNP.
They are claiming this will take place somewhere in Manchester has
called a rally for Sunday and already this has the support of the
Manchester TUC, U.A.F. and Searchlight. Everyone needs to know about
this rally, everyone needs to mobilise, because Le Pen and his
fascist friends in the BNP pose a danger to all.
Le Pen has at least six convictions for inciting racial hatred and
for anti-Muslim remarks. He is the leader of France's biggest fascist
party; his organisation actively promotes racism and discrimination.
In the 1980s Le Pen boasted that the Holocaust, during which millions
of people were murdered, was 'a mere detail of history'. He has
refused to withdraw that remark, and has made many similar statements
since. In 1998 Le Pen publicly argued that he believed in
the 'inequality of races' and he has made repeated anti-Semitic
comments on French TV.
The last time Le Pen came to the UK he was driven out thanks to mass
protests. In Edinburgh the hotel was forced to cancel his planned
rally and he left by the back door - this was headline news in France
& strengthened the fight against fascism there. Now he is back again
and it t is no surprise that he has agreed to raise funds for the
BNP. Their leader Nick Griffin received a two year suspended jail
sentence having denied the existence of the holocaust against Jews.
Fascist organisations like the BNP and the Front Nationale represent
a threat to our democracy and our way of life. Their activities seek
to whip up racism, division and discord.
We will not let that happen here! Join us in All Saints Park, Oxford
Road, Manchester to give voice peacefully and with dignity to our
rejection of fascism, the politics of hate.
For further information contact:
Alec McFadden 07831 627 531
Comments
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Merci beaucoup !
25.04.2004 10:43
Seb P.
a french user of indymedia paris
{Congratulations for your support. Antifascism has no borders. If our fascists come in UK or yours in France, we'll be against to say "no pasaran".}
Seb P.
e-mail: sebp@no-log.org
Criminals record of Jean-Marie Lepen
25.04.2004 11:17
http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=15143
He was condamned bcs of praising war crimes in CD titled "Song of the III Reich", torture in Algeria, financials lies, play-on-word about crematory
etc.
"
Admirez le casier judiciaire de ce cafard , dont un oeil louche à l'extreme droite . Cette ordure néo nazis de 1er choix est fier de son casier judiciaire ,
1. Les condamnations de Le Pen par la Justice
Pour " Banalisation de crimes contre l ?humanité, consentement à l ?horrible "
18 mars 1991 : Le Pen est condamné par la Cour d'appel de Versailles à verser des dommages et intérêts aux associations anti-antisémites, pour un total supérieur à un million de francs, pour avoir parlé de "détail" ("un détail de l'histoire de la seconde guerre mondiale") à l ?émission " Le Grand Jury RTL-Le Monde " du 13 septembre 1987 à propos de l'existence des chambres à gaz comme technique d'extermination utilisée par les nazis pendant la deuxième guerre mondiale, les juges estimant que cette déclaration était "intolérable" car banalisant "les persécutions et les souffrances infligées aux juifs et aux tsiganes par les nazis" et qu ?il y avait " atteinte très grave au souvenir, au respect et à la compassion dues aux survivants du génocide et de leurs familles ".
26 décembre 1997 : condamné par le tribunal de grande instance de Nanterre pour avoir réaffirmé, à Munich le 5 décembre 1997, que les chambres à gaz constituaient " un détail de l ?histoire de la Seconde Guerre mondiale ". Il doit verser des dommages et intérêts, pour un total d ?environ 500 000 francs, à onze associations anti-antisémites, avec publication à ses frais (300 000 francs) dans dix quotidiens et six hebdomadaires. Le 6 octobre 1998 le Parlement européen lève l'immunité du président du Front national pour sa déclaration de Munich par 420 voix contre 20 et 6 abstentions.
Pour " Apologie de crime de guerre "
14 janvier 1971 : Le Pen est reconnu coupable par la Cour de Cassation d'apologie de crime de guerre pour l'édition d ?un disque intitulé Le IIIe Reich. Voix et chants de la Révolution allemande, après une première condamnation par la 17e chambre correctionnelle de Paris, le 18 décembre 1968.
Sur le dos de la pochette du disque, qui contient " L ?hymne du parti nazi " et " Vive Hitler ", on peut lire : " La montée vers le pouvoir d ?Adolf Hitler et du Parti national-socialiste fut caractérisée par un puissant mouvement de masse, somme toute populaire et démocratique, puisqu ?il triompha à la suite de consultations électorales régulières, circonstance généralement oubliée ".
Pour " Antisémitisme, provocation à la haine raciale "
11 mars 1986 : condamné par le tribunal d ?Aubervilliers à un franc symbolique de dommages et intérêts pour " antisémitisme insidieux " : A la suite d ?un discours à la fête des " bleu blanc rouge ", Le Pen avait indirectement attaqué J.-F. Kahn, J. Daniel, I. Levaï, J.-P.Elkabbach et Mgr Lustiger.
16 novembre 1987 : condamné pour " provocation à la haine, la discrimination et la violence raciale " pour un tract diffusé en 1983 pour les élections municipales dans le XXème arrondissement de Paris.
Condamné par la cour d ?appel de Paris du 29 mars 1989 pour " provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale " du fait de ses propos au cours de l ?émission " L ?Heure de vérité " du 14 février 1984, selon lesquels " le monde islamo-arabe " constitue un " danger mortel ".
Le 23 mai 1991, la cour d'appel de Lyon confirme l ?interdiction de l'affiche du Front national " SIDA : Socialisme, Immigration, Drogue, Affairisme ". Les juges expliquent : " L'utilisation du terme SIDA pour stigmatiser l'immigration qui représenterait un danger aussi grave que la maladie porte une atteinte intolérable à la dignité des malades, qui ont droit au respect et à la solidarité et également une atteinte intolérable à la dignité des populations immigrées". Le Front national est condamné à verser des dommages et intérêts aux associations demanderesses.
Pour " Injures contre des personnes publiques et insultes "
15 novembre 1996 : Le Pen est condamné pour avoir " gravement porté atteinte " à un magistrat, après avoir déclaré : " Un jugement n ?est pas la bible ".
3 juin 1993 : La Cour d ?appel de Paris confirme sa condamnation du 7 mars 1991 pour injure publique envers l ?ancien ministre Michel Durafour, à la suite de son jeu de mot " Durafour-crématoire " en 1988.
9 septembre 1998 : condamnation de le Pen à un franc symbolique de dommages et intérêts pour avoir présenté une tête en carton à l ?effigie de Catherine Trautmann lors d ?un meeting du Front National en mai 1997.
6 janvier 1997 : Le Pen est condamné par le tribunal de Strasbourg pour avoir qualifié l ?association " Ras-le-front " de " mouvement de tueurs de flics ".
4 juillet 1997 : il est condamné pour avoir traité Fodé Sylla, président de SOS Racisme, de " gros zébu fou ".
Pour " Violences physiques "
27 avril 1964 : Le Pen est condamné à une amende et à des dommages et intérêts, pour coups et blessures volontaires.
16 janvier 1969 : Le Pen est candamné pour coups et blessures volontaires à trois mois d ?emprisonnement avec sursis, près de 20 000 francs de dommages et intérêts, par le tribunal de Grande Instance de Paris.
2 avril 1998 : condamné en première instance pour " violence en réunion " et " injures publiques " après l ?agression de la candidate socialiste Annette Peulvast-Bergeal, lors de la campagne des législatives de 1997 : Jean-Marie Le Pen est condamné à 3 mois de prison avec sursis, 20 000 francs d ?amende et deux ans d ?inéligibilité, réduits à un an après le jugement de la Cour de Cassation. Son recours devant la Cour européenne des droits de l ?homme a été rejeté le 7 juin 2001.
Pour " Oublis de plus-value boursière et sous-estimation de loyer "
Jean-Marie Le Pen est condamné le 8 novembre 1995 à un redressement de 1,4 millions de francs. Il a fait appel de cette décision.
2. Les procès perdus de Jean-Marie Le Pen
Contre l ?accusation de provocation au racisme, au nazisme, à l ?antisémitisme
Un arrêt de la cour d ?appel d ?Amiens du 28 octobre 1985 relaxe les responsables du Courrier Picard poursuivis en diffamation par Le Pen pour l ?avoir accusé de constituer " en permanence une incitation au racisme " et " une provocation à l ?antisémitisme ou au nazisme ".
Un arrêt de la cour d ?appel de Lyon du 27 mars 1986 relaxe les responsables de la fédération du Parti socialiste poursuivis en diffamation par Le Pen et le FN à la suite d ?un communiqué dans lequel ils accusaient l ?extrême droite d ?incitation à la haine et au racisme.
Jugement correctionnel du TGI de Toulon du 20 juin 1990, arrêt de la cour d ?appel d ?Aix-en-Provence du 25 février 1991 (confirmatif) : le tribunal relaxe Roger Hanin et le directeur du journal qui avait publié ses propos. R. Hanin avait notamment déclaré à propos du FN : " ses dirigeants ne sont pas seulement des fascistes mais aussi de véritables nazis ".
Contre l ?accusation de pratique de la torture
Le 22 juin 1994, la 11e chambre de la cour d'appel de Paris relaxe Michel Rocard, poursuivi par Le Pen pour l'avoir accusé, le 2 février 1992, à 7 sur 7, d'avoir torturé en Algérie. La cour rappelle qu'" en 1957 et dans les années suivantes, Jean-Marie Le Pen avait approuvé et légitimé l'utilisation de la torture en Algérie ", ajoutant que ses propos sur ce qu'il avait ou non personnellement fait " étaient très ambigus ". Le jugement est confirmé par la cour d ?appel de Rouen.
http://www.vidal.org/lepen/pages/justice.html
Faites circuler l'info partout sur ce crapaud
"
Seb P.
Racism and Class Oppression, and Economic Realities
30.04.2004 15:08
We have all become isolated individuals, all those passionate people talking about social justice, fair wages for all, those who want to tackle racism, class oppression, injustice, an increasingly violent society, and the growing divisions, mainly economic in nature, that more and more seem a part of British society. In trying to make sense of this, why as things get worse people seem to have increasingly become despondent and apathetic, there are issues at hand that rarely, if ever, are talked about and debated, in any public forum, and even it seems amongst those who are supposed to be savvy and clued-up about such issues. The issues are diluted, and they are ignored, passed from pillar to post and conveniently forgotten, even by those organisations and groups that are supposedly concern with social justice, and by political parties of every persuasion too. There is a growing sense of injustice in Liverpool at this time, and no doubt this is mirrored throughout Britain and Western Europe as a whole. Wealth creation goes from strength to strength, and businesses and corporations wax fat on high profits and low taxation, but always the same story too of jobs being shed, wages being kept low and dreadful insecurity around employment. How can it be that with so much wealth being created, in Britain and by British companies around the world, there is never enough to pay ordinary workers a fair living wage? This is a particular problem in Liverpool, where even after over a decade of billions of pounds being poured into the city, the average wage in some areas of the city is £9000 per annum. The stink of greed and hypocrisy surrounding this harsh reality, whilst yuppie flats are being built, and house prices are going through the roof, is one that is barely mentioned by the mainstream press in Liverpool. It is this hypocrisy, this silence, these double standards that need to be tackled, even if only debated. And if people are honest, ruthlessly honest, some truths may be found.
We will all continue to go in ever-diminishing circles, those of us genuinely concerned about equality and social justice in Liverpool, until we understand these harsh and unpalatable truths, and perhaps when we come together and see that when one group fights for a fairer slice of the cake and their voices to be heard, it is pretty much like any other oppressed groups aims. Knowing what each of us wants, and knowing what groups and communities want from a better life in Liverpool; a better life economically, socially, educationally, and in other ways that make all our lives more prosperous, happier and enable us to live in real freedom. And in coming to the absolute truth of what we do genuinely desire and want, we can then look at what we don’t want, and to see greed and injustice, double-standards and hypocrisy as the enemies of all who desire social justice and a city, no a world, that isn’t just for rich people and big land owners and corporations, but actually belongs to us all. Don’t we all desire a fairer and safer world, after all?
Only when those fighting for social justice see in their own needs and wants, other peoples needs and wants as equally important, and begin to come together en masse to fight pensioner poverty, consistent low wages, racism, bad housing, poor educational facilities, oppression against working class communities of every kind, and the racism and prejudices that engulf Liverpool, will any serious changes begin to happen. Until then, and on what has happened over the last 30 years or more, groups and individuals will continue to howl in the wilderness, separate and alone, and effecting little if no real change. The injustices needing immediate enquiry are those that involve low wages in a wealthy country, divisions of labour involving some people being paid very well whilst others are paid pittances, those involving access to resources, housing, education, fair and equal treatment amongst many others.
When we, as individuals and as oppressed groups and communities of varying kinds, refuse to accept our lot in life, and stand up to be counted, and refuse to accept poverty and injustice, even in our own very private and personal individual lives, things will change. When we demand and desire justice for ourselves and clamour for better lives, and work towards that as our right as human beings, society will change by default.
When working class people, and other oppressed minorities stand up for their own rights, and work towards their own goals and ambitions, and are certain about where we wish to go, nothing will stop us.
Timbo